La colère, en nous faisant prendre parti pour nous-mêmes vivants, transforme le Maléfique en un fantôme évanescent et nous remet debout face au Vivant.
Comment laisser le champ libre à la force recréatrice du Créateur ?
Il me semble qu’elle se déploie de préférence en période de table rase, quand plus rien ne tient, ne nous tient.
La colère a pulvérisé jusqu’à nos interlocuteurs fantasmatiques, il ne reste qu’une terre « informe et vide », selon le sens exact de l’hébreu tohu et bohu.
Il n’y a plus rien à faire… sinon laisser carte blanche au Vivant.
Lytta Basset, Ce lien qui ne meurt jamais
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