Alors, encore visionnée ce matin... et déjà censurée... et pas visible sur le site non plus (https://reinfocovid.fr/articles_video/live-csi-du-jeudi-20-mai-2021-2/ ) on se doute bien que ce n'est pas l'utilisateur qui a supprimé sa vidéo. Il reste donc les quelques extraits que j'ai recopiés, d'autant plus précieux... en attendant de retrouver quelque part cette vidéo.
Voici dans le n° 6 du conseil scientifique indépendant des exposés à propos d'aspects importants, puisque c'est à partir de cela que toute la politique de confinement a été faite :
- les statistiques (qui annoncent 100 000 morts), affirmation battue en brèche par cette analyse de Pierre Chaillot
à défaut de la vidéo d'origine, censurée, je vous propose de visionner celle-ci, où Pierre Chaillot partage son analyse des données sur la mortalité pendant l'épidémie
https://www.youtube.com/watch?v=f0n3EdMDlcI
- la pharmacovigilance vaccinale par Surya Arby
- les tests PCR et antigéniques, ainsi que salivaires, par Hélène Banoun, une étude qui remet largement en question ce que les médias ou responsables nous disent
- enfin quelques données aussi sur la transmission virale ou vaccinale et l'intégration dans le génome.
Pour ce dernier point, j'ai retranscrit mot à mot les passages évoqués à partir de la minute 1h32.34 entre Louis Fouché, Eric Ménat et Hélène Banoun, car il me semble important d'avoir accès à ces notions de transmission, d'infection, et d'intégration dans le génome.
MT
Hélène Banoun 1h32.34
On m’a demandé pourquoi on va excréter du virus parce qu’on n’est pas malade, parce que l’on sait maintenant que pendant des semaines, et même pendant des mois après la guérison on peut encore excréter des petits morceaux de virus et là dernièrement vient d’être publié un article qui montre que l’ARN du virus peut s’intégrer dans notre génome, donc ça peut expliquer, ce n’est pas encore prouvé, mais ça peut expliquer qu’on fabrique des petits morceaux de virus beaucoup de semaines ou mois après avoir été guéri.
Fouché 1h33.07
cette étude était sortie en pré-print sur des cultures cellulaires où l’on voyait déjà qu’il y avait une intégration , donc quand les gens nous disaient mais l’ARN ça ne peut pas s’intégrer, les gars, Didier Raoult le disait bien, ça fait 30 ans qu’on le sait, et quand on a commencé à dire le virus peut s’intégrer chez les gens et pourquoi pas des fragments d’ARN qui viennent d’ailleurs, les gens ont rigolé, c’est pas possible et quand l’article est sorti en préprint , ils ont dit c’est un préprint, ça veut rien dire, maintenant l’article final est sorti à la fois sur des cultures cellulaires et sur des génomes de patients, dans PNAS (1) qui est un très grand journal de l’Académie scientifique américaine, et bien voilà, c’est prouvé, et ça, ça peut peut-être nous éclairer sur un sujet dont on parlera à un moment, qui sont les covid longs, c’est un gros fourre-tout on ne sait pas ce que c’est les symptômes c’est flou, personne ne sait vraiment bien définir ce que c’est, mais si ça se trouve il y a des gens qui ont des covid longs peut-être parce qu’ils ont intégré le virus dans leur génome et qu’ils continuent d’en cracher des morceaux à répétition et au long cours.
Dr Eric Ménat
Je voudrais juste rassurer nos internautes. Quand il s’agit d’avoir des morceaux de virus qui persistent plusieurs semaines voire plusieurs mois , peut-être même qu’ils sont intégrés à notre génome, mais en tous cas qui persistent, ça donne des PCR qui sont faussement positives mais ce n’est pas un virus entier , c’est-à-dire c’est un virus qui n’est pas infectant et qui n’est pas contagieux , est-ce que c’est bien de ça dont on parle Hélène ? parce que sinon ça voudrait dire qu’on reste contagieux pendant des mois…
Hélène Banoun
Voilà, comme je l’ai dit dans ma présentation, en gros après 12 Jours après l’apparition des symptômes, on ne trouve plus de virus cultivables, entiers, infectieux, bien sûr il y a des gens chez qui ça dure, mais en moyenne 12 jours et surtout au dessus de 28 cycles d’amplification on ne trouve pas de virus cultivables, donc supposément on ne trouve pas de virus infectieux
Dr Fouché
Pas infectieux, ça veut dire que vous ne pourriez pas le donner à quelqu’un d’autre, en revanche est-ce que la multiplication de ces particules virales à l’intérieur de votre corps, par votre machinerie cellulaire elle-même peut être à l’origine de symptômes, c’est à dire déclencher la réaction inflammatoire du corps lié à ça, hé, y’a des chances que ça puisse faire quelque chose, et nous on voit en pratique clinique des gens qui n’ont plus de virus, qui éteignent leur réaction inflammatoire et boum hop ça repart, tiens y’a un renouveau du virus et boum il y a à nouveau une réaction inflammatoire, et là je n’ai pas la preuve, on ne fait pas le génome à tous ces gens-là, mais on se dit probablement c’est ceux là qui l’ont intégré et la maladie se pérennise.
Dr Ménat,
Mais c’est important de comprendre que ce n’est plus une maladie infectieuse, il n’y a plus de virus entier, ils ne sont plus contagieux, par contre ils ont des particules virales , peut-être cette fameuse protéine spike justement, qu’on injecte avec le vaccin, qui entretient une réaction immunitaire et nous savons que la vraie problématique de cette maladie covid, c’est la deuxième phase qui est une phase inflammatoire et immunitaire mais plus du tout infectieuse et c’est très important que les gens comprennent ça parce que beaucoup ont dit : les gens vaccinés sont dangereux, ils vont nous transmettre le virus, non non, il n’y a plus de virus, il n’y a pas de virus, il y a des morceaux d’ADN, des morceaux du virus qui ne sont pas infectant en soi mais qui déclenchent des réactions inflammatoires et immunitaires potentielles et peuvent peut-être entrainer des covid longs.
Sur les personnes vaccinées qui auront le droit de circuler : on sait que la vaccination n’empêche pas la transmission, beaucoup de gens vaccinés sont quand même malades, cela veut dire qu’enlever la septaine aux vaccinés, c’est ouvrir la porte au virus dans toutes les îles, dans tous les DOM-TOM, donc laisser entrer les vaccinés sans aucun contrôle me parait scientifiquement délirant et je pense qu’on aura de mauvaises surprises.
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(1) L'article du PNAS journal sur l'étude affirmant que l'ARN peut être intégré dans le génome de cellules humaines cultivées
https://www.pnas.org/content/118/21/e2105968118
TRADUCTION Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived
Signification
Un problème non résolu de la maladie du SRAS-CoV-2 est que les patients restent souvent positifs pour l'ARN viral détecté par PCR plusieurs semaines après l'infection initiale en l'absence de preuve de réplication virale. Nous montrons ici que l'ARN du SRAS-CoV-2 peut faire l'objet d'une transcription inverse, être intégré dans le génome de la cellule infectée et être exprimé sous forme de transcrits chimériques fusionnant des séquences virales et cellulaires. Il est important de noter que ces transcrits chimériques sont détectés dans les tissus dérivés des patients. Nos données suggèrent que, dans certains tissus de patients, la majorité de tous les transcrits viraux sont dérivés de séquences intégrées. Nos données permettent de mieux comprendre les conséquences des infections par le SRAS-CoV-2 et peuvent contribuer à expliquer pourquoi les patients peuvent continuer à produire de l'ARN viral après leur guérison.
Résumé
La détection prolongée de l'ARN du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) et la récurrence des tests PCR positifs ont été largement rapportées chez les patients après leur rétablissement du COVID-19, mais certains de ces patients ne semblent pas excréter de virus infectieux. Nous avons étudié la possibilité que les ARN du SRAS-CoV-2 puissent faire l'objet d'une transcription inverse et être intégrés dans l'ADN de cellules humaines en culture et que la transcription des séquences intégrées puisse expliquer certains des tests PCR positifs observés chez les patients. À l'appui de cette hypothèse, nous avons constaté que les copies d'ADN des séquences du SRAS-CoV-2 peuvent être intégrées dans le génome des cellules humaines infectées. Nous avons trouvé des duplications de sites cibles flanquant les séquences virales et des séquences consensus de reconnaissance de l'endonucléase LINE1 sur les sites d'intégration, ce qui est cohérent avec un mécanisme de transcription inverse et de rétroposition médié par le rétrotransposon LINE1 et amorcé par la cible.
Nous avons également trouvé, dans certains tissus dérivés de patients, des preuves suggérant qu'une grande fraction des séquences virales est transcrite à partir de copies d'ADN intégrées de séquences virales, générant des transcrits chimériques virus-hôte.
L'intégration et la transcription des séquences virales peuvent donc contribuer à la détection de l'ARN viral par PCR chez les patients après l'infection et la guérison clinique. Comme nous n'avons détecté que des séquences subgénomiques dérivées principalement de l'extrémité 3′ du génome viral intégré dans l'ADN de la cellule hôte, le virus infectieux ne peut pas être produit à partir des séquences subgénomiques intégrées du SRAS-CoV-2.
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Quelques passages de l'interview du Pr Raoult
"Les infections naturelles, sur les données que nous avons, sont au moins 10 fois plus protectrices que les infections par vaccin, c'est à dire que les rechutes sont très rares, par rapport aux infections chez les vaccinés. C'est à dire en tout les rechutes depuis le début sur ce que nous faisons, c'est à dire 40 000 personnes, on a une centaine de rechutes; sur les vaccins on a beaucoup plus de rechutes parmi les gens qui viennent se présenter, ce qui n'est pas une surprise" Pr Raoult
"il n'y a pas du tout d'évidence que le vaccin diminue le portage du virus, ça n'a pas été étudié, il n'y a pas d'évidence de ça".
"je suis frappé par l'absence de connaissance scientifique et l'absence de modestie d'un certain nombre de collègues, puisque sur le site de la Spilf, il y a un collègue qui a répondu qu'il n'y avait pas de transcriptase inverse, une enzyme qui permet d'intégrer l'ARN dans le noyau humain, ce qui est une bêtise, c'est vraiment une ignorance il suffisait d'aller sur wikipedia, tout le monde sait ça, ça fait 30 ans qu'on sait ça, on connait même la manière dont ça rentre, on sait par où ça passe, on connait les bases par où ça rentre" . min 13
"ça fait quelques années que l'on voit que des virus à ARN s'intègre dans le génome humain"
"il y a plus de 10 000 rétrovirus intégrés dans le génome humain"
"il va falloir que l'on regarde où cela s'intègre, parce que en fonction de l'endroit où ça s'intègre ça peut avoir des conséquences... ,d 'éteindre des cellules ou de transformer des cellules en cellules cancéreuses, donc il y a une question qui se pose, qui n'est peut-être pas que pour celui-là, mais qui se pose dans cette infection et qui est une véritable question". D. Raoult
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Quand on voit le temps que cela prend d'expliquer, d'analyser, de nuancer, de comparer, on comprend qu'un sujet aussi vaste que celui des virus ne peut être appréhendé en quelques minutes lors de News à la télé, où la confrontation des points de vue est rare et quand elle a le mérite d'exister, les contradicteurs sont souvent disqualifiés ou ridiculisés, ce qui n'est pas vraiment le meilleur moyen pour nos cerveaux d'intégrer les informations et de les analyser calmement. Néanmoins, j'observe que lors de certaines émissions, le ton change...
Visiblement ces informations dérangent, puisqu'elles sont censurées.
La vidéo du CSI n°2 du 15/04 a été censurée le 22/04 par Youtube.
La vidéo du Dr Hélène Banoun du 19/04 présentant les suivis épidémiologiques du réseau public national Sentinelles a été censurée le 22/04 par Youtube.
Le discours public du Dr Fouché à Nîmes 24/04 a été censuré sur youtube.
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Passage du Dr Fouché à C News, relativement écouté et pour une fois non disqualifié. Cela lui donne le temps d'exposer posément son point de vue sur les injections
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