« Vous savez je n’ai pas envie d’être pour l’obligation, ça ne me plait pas de dire quelque chose qui en plus est impopulaire et qui me vaudra des menaces.
Je considère que celui qui est liberticide dans cette affaire, c’est le virus, c’est lui qui nous enferme, et c’est lui qui nous empêche de vivre et moi je veux m’en libérer ».
Alors là, il fallait oser… Voilà comment l’on crée un discours et une pensée pervers...
On se soustrait de la responsabilité de ses actions pour en investir autrui... même s'il s'agit d'un minuscule organisme comme un virus.
Oh le méchant virus, qui non seulement nous rend malade mais qui en plus est liberticide.
Liberticide, probablement un nouveau « gain de fonction » pour ce virus vraiment pas gentil…
Des argumentaires réduits à leur plus simple appareil, c'est pas nous les méchants, c'est le virus... Édifiant.
Autre phrase à souligner :
"Pas de système au monde configuré pour faire face à cette maladie. "
Ce doit être pour cela que l'on continue à supprimer des lits d’hôpitaux...
Par ailleurs on sait que c'est un mensonge de dire que rien au monde n'est configuré pour faire face à 10 % d'infectés, puisque les "grands" de ce monde se réunissent pour prévoir des pandémies et leur gestion à tous les niveaux, sanitaires, économiques, politiques, médiatiques, etc...
Donc la non-configuration est un choix politique, et non pas une surprise à laquelle les dirigeants sont confrontés. Nuance....