Les médias se veulent rassurants et les ambassadeurs de technologies non maitrisées ou dont on connait mal toutes les intentions de leurs utilisations, vu la transparence qui règne dans ces domaines. On n'a pas encore tout le recul nécessaire pour affirmer qu'elles sont sans danger ou sans effets secondaires, et d'ailleurs le problème est-il "sont-elles fiables" ou bien "par qui sont-elles utilisées et dans quel but"? (1)
S'interroger aujourd'hui fait partie "des théories complotistes", il n'y a pas un article mainstream qui ne fait référence à cette "dérive" de la pensée ou qui pour toute réponse stigmatise l'interlocuteur avec cette appellation (2).
Fini le principe de précaution, fini la nécessité de se poser des questions et de débattre autour de la santé. Les "décodeurs" du Monde sont là pour nous remettre dans le droit chemin. Autant je ne vois rien à redire sur l'idée de compléter des informations manquantes ou d'approfondir un sujet, autant la remise en cause systématique de toute contradiction devient vraiment louche et infructueuse.
Finalement, en résumé, tous les médicaments sont sécures, et tous ceux qui nous les vendent sont des gens irréprochables, avec des intentions altruistes, humanitaires, et on devrait les remercier... C'est simple.
D'ailleurs, suite à un post où je m'interrogeais sur les dangers des injections et des témoignages de décès, une personne sur ma page FB a commenté en disant que ces gens-là devraient tous recevoir le prix Nobel et être remerciés.
Peut-être.
Pardonnez l'ingratitude de quelques humains qui ne passent pas directement par la case remerciements, mais font un détour par la case questionnement.
Comme le fait, entre autres, le Dr Louis Fouché, toujours pointé du doigt et étiqueté "figure de proue de la fronde antimasques" dans cet article. Louis Fouché qui par ailleurs à ce jour, comme le Pr Raoult, va perdre son emploi. Or toutes les questions qu'il soulève ne viennent pas de nulle part, mais d'une littérature étayée, comme en effet cet autre article du Monde qui fait état d'un carnet vaccinal sous-cutané proposé en Afrique.(3)
Donc dans l'article, on nous explique comment fonctionnent les nanoparticules et on s'appuie sur un chercheur pour nous rassurer.
Le chercheur, Camille Locht précise :
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Nanoparticules et vaccins contre le Covid-19 : cinq questions pour démêler le vrai du faux
Une séquence vidéo, très partagée sur Facebook résume les inquiétudes concernant le vaccin et les nanoparticules. Le médecin réanimateur Louis Fouché, figure de proue de la fronde antimasq...
(...) "Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.
La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination."
Le très altruiste Bill Gates est évidemment de la partie, sur ces projets de carnets vaccinaux.
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Le Kenya et le Malawi, zones test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau
Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l'œil nu mais visible p...
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Des Africains opposés aux essais cliniques relatifs à la COVID-19 - Afrique Sub-Saharienne
Nombreux sont les membres de la diaspora africaine en France qui ont appelé leurs parents en Afrique, pour leur demander de refuser de prendre part à des essais cliniques dans le cadre de la lutt...
https://www.scidev.net/afrique-sub-saharienne/news/africains-essais-cliniques-covid-19/