Depuis des siècles certains êtres jouent à expérimenter des techniques, des armes et à "étudier" les conséquences qu'elles ont sur les populations de la terre.
Que ce soit la bombe nucléaire, des expériences médicales, les expériences sexuelles sur les enfants, les modifications génétiques, que ce soit le programme MK Ultra, l'Unité 731 au Japon (1), les camps de concentration et les expériences de Mengele (2), l'étude de Tuskegee sur la syphilis (3), les recherches dans le laboratoire 257 de Plum Island (4), que ce soit le transhumanisme vers lequel on aimerait nous conduire, les programmes ne manquent pas pour faire des expériences sur les populations, de préférence sans leur consentement et pour des buts qui ne servent jamais ni leur bonheur ni leur bien-être...
Les justifications varient suivant les besoins politiques, économiques et les circonstances... Pour la bombe d'Hiroshima, "Ils ont reçu la monnaie de leur pièce".
Qui ça, "ils" ?
Les habitants, les hommes, femmes, enfants, méritaient d'être blessés et tués par cette nouvelle arme ?
On oublie juste un détail, c'est que les populations sont les victimes de leurs dirigeants qui s'affrontent pour des raisons de pouvoir dont elles ne sont pas les bénéficiaires, et cela tant qu'elles ne verront pas l'utilisation que l'on fait de leurs émotions, de leurs pensées, de leurs réactions, pour s'en servir comme un levier et les amener là où l'on souhaite pour un objectif dont elles n'ont pas le décodage.
Depuis des années, depuis le lycée si je me rappelle bien, j'ai en tête cette phrase de Paul Valéry qui résume parfaitement les enjeux du monde et comment les populations, manipulées, servent de chair à canon.
"La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas... "
Ainsi, "Ils le méritaient" ou bien était-ce l'occasion "idéale", de tester quelque chose à grande échelle, en toute impunité? La guerre donne un statut aux événements qui permet beaucoup de choses...
Nous l'avons appris récemment quand un président a dit que nous étions en guerre, et en effet, nous avons vu à la suite de cette annonce, tout un tas de dérives, sanitaires, politiques, législatives, qui ont pu facilement être mises en place, au nom de cet état de guerre, condition suprême qui oblige, croyons-nous, à tout accepter au nom de "l'effort de guerre".
Les nombreux exemples du passé devraient nous mettre en état d'alerte et nous faire comprendre que pour des intérêts qu'on nous présente comme supérieurs, mais qui ne sont en fait que privés et absolument pas pour le bien le plus élevé de tous, un certain nombre d'individus sont prêts à tout. Et lorsque l'on dit "tout", il suffit de connaître les abominations perpétrées depuis des décennies, pour comprendre qu'il n'y a pas de limites à l'horreur. L'erreur est de croire que c'est du passé et que nous sommes à l'abri.
Notre devoir est d'avoir le courage de voir et d'arrêter d'être des enfants qui projettent leurs attentes de bienveillance et de prise en charge sur des individus qui ne souhaitent absolument pas notre bonheur. Notre courage est de voir. Voir l'innommable et le faire entrer en nous pour l'accueillir et le transmuter, au moins le transformer.
Le jour où nous commencerons à voir, vraiment, les châteaux de cartes commenceront à s'effondrer. Le jour où nous commencerons à voir, vraiment, il nous faudra pardonner mais surtout nous pardonner, d'avoir été ignorants, aveugles, inconscients, impuissants et serviles.
Alors nous pourrons commencer à mettre fin à la barbarie.
MT
En 1946, huit mois après les bombardements atomiques, une équipe de cinéma de l’armée américaine réalise au Japon un long métrage documentaire. Plusieurs bobines sont tournées à Hiroshima et Nagasaki mais à leur arrivée aux États-Unis, les images visionnées sont classées secret défense. La bobine 11004 explore les 19 minutes de ces rushes et révèle, image par image, la première censure de l’histoire du nucléaire.
Ce documentaire est pré-sélectionné pour concourir au César 2022 du Meilleur film de court métrage documentaire.
Des images d'ombres sur les murs, des ruines de béton, des amas de cendres, de trams carbonisés, c'est ce que le monde entier a vu d'Hiroshima et de Nagasaki pendant des années. Comme si deux bo...
https://www.kubweb.media/page/bobine-11004-hiroshima-nagasaki-archive-mirabelle-freville/
(1) L'Unité 731, créée entre 1932 et 1933 par mandat impérial, était une unité militaire de recherche bactériologique de l'Armée impériale japonaise. Officiellement, cette unité, dirigée par Shirō Ishii, se consacrait « à la prévention des épidémies et la purification de l'eau », mais, en réalité, elle effectuait des expérimentations sur des cobayes humains comme des vivisections sans anesthésie ou des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques1. Les expérimentations bactériologiques pratiquées au Mandchoukouo, notamment par largage aérien, ont fait entre 300 000 et 480 000 victimes2. L'Unité 731 est aujourd'hui reconnue responsable de crimes de guerre et crimes contre l'humanité. L'État japonais ne reconnaît son existence que depuis 20022.
(2) Josef Mengele, né le à Guntzbourg et mort le à Bertioga, est un officier allemand de la Schutzstaffel (SS), criminel de guerre qui exerça comme médecin dans le camp d'extermination d'Auschwitz durant la Seconde Guerre mondiale. Maillon actif de la Shoah, il y participa à la sélection des déportés voués à un gazage immédiat et réalisa diverses expérimentations médicales meurtrières sur de nombreux détenus. Après la guerre, il s'enfuit en Amérique du Sud où il mourut en 1979 sans jamais avoir été jugé pour ses actes.
(3) L'étude de Tuskegee sur la syphilis (1932-1972) est une étude clinique menée à Tuskegee, Alabama par des médecins américains pour mieux connaître l'évolution de la syphilis lorsqu'elle n'est pas traitée, réalisée sans en informer les sujets, sous couvert d'une prise en charge médicale par le gouvernement américain1.
Le Service de santé publique des États-Unis a commencé cette étude en 1932, en collaboration avec l'université Tuskegee, une université traditionnellement noire d'Alabama. Les chercheurs ont enrôlé 600 métayers afro-américains pauvres du comté de Macon. Parmi eux, 399 avaient déjà contracté la syphilis avant le début de l'étude, tandis que 201 n'étaient pas contaminés.
Ces hommes ont reçu des soins médicaux gratuits, des repas, et une assurance entièrement gratuite pour leur participation à l'étude. Mais alors qu'on leur avait affirmé qu'elle ne durerait que six mois, elle s'est en fait étalée sur 40 ans. Même après que le financement pour leurs soins a été stoppé, l'étude continua sans que soient informés les participants du fait qu'ils ne seraient jamais soignés. Aucun d'entre eux ne fut même informé du fait qu'ils étaient malades, ni ne fut traité avec de la pénicilline, alors même que cet antibiotique avait fait la preuve de son efficacité dans le traitement de la syphilis, dès 1940.
(4) Traduction du résumé du livre Lab 257 :
Nichée près des Hamptons, le terrain de jeu d'été à la mode des riches et célèbres américains, et à l'ombre de New York, se trouve une île peu imposante de 840 acres non identifiée sur la plupart des cartes. Sur les rares endroits où il peut être trouvé, Plum Island est marqué en rouge ou en jaune et estampillé gouvernement américain - maladies animales restreintes ou dangereuses. Bien que de nombreuses personnes vivent la belle vie à moins d'un kilomètre ou deux de ses côtes, peu connaissent le nom de cette île en forme de côtelette de porc. Encore moins peuvent dire s'il est habité ou pourquoi il n'existe pas sur la carte. Tout est sur le point de changer.
Lab 257: L'histoire troublante du laboratoire secret du gouvernement sur les germes de Plum Island dévoile l'étonnante nature et l'histoire mouvementée de Plum Island. Cela montre que l'île apparemment bucolique à la périphérie du plus grand centre de population des États-Unis est une bombe à retardement biologique qu'aucun de nous ne peut ignorer en toute sécurité.
Basé sur d'innombrables documents gouvernementaux déclassifiés, des dizaines d'entretiens approfondis et l'accès à Plum Island lui-même, il s'agit d'un récit révélateur et plein de suspense d'un laboratoire de germes du gouvernement fédéral qui a terriblement mal tourné. Pour la première fois, Lab 257 vous emmène au plus profond de ce monde secret et présente des révélations surprenantes, notamment des épidémies de virus, des effondrements biologiques, des travailleurs infectés qui se sont vu refuser l'aide au diagnostic par Plum Island Brass, le rinçage périodique des eaux usées brutes contaminées dans les eaux de la région et les liens insidieux entre Plum Island, la maladie de Lyme et l'épidémie mortelle du virus du Nil occidental en 1999.
Une exploration du monde complexe de la microbiologie, des virus et des bactéries, Lab 257 montre également comment le département américain de l'Agriculture, qui a dirigé Plum Island pendant le dernier demi-siècle, est bien plus que des œufs sains de catégorie A et la pyramide alimentaire. Le livre explore ce qui attend le nouveau propriétaire de Plum Island, le Department of Homeland Security, en cette ère de bioterrorisme. Et pour ceux qui s'intéressent aux questions de sécurité nationale, c'est un appel à l'action pour ceux qui sont soucieux de protéger les générations présentes et futures des catastrophes biologiques évitables.
Le laboratoire 257 changera à jamais notre compréhension actuelle de Plum Island - un endroit qui est, selon les mots d'un initié, "une île biologique de Three Mile".
Voir aussi cet article : http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/2017/03/lyme-pandemie-bacterienne-et-armes-bacteriologiques.html
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👏👏👏 Ca pique... Cette Véra est formidable. Voici une vidéo qui sera très rapidement censurée ! Rappelez-vous en regardant la fin, cette célèbre phrase de...
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Vera Sharav, sur la continuité de l'eugénisme.....