Voici une vidéo de Dominique Aubier, kabbaliste, qui parle ici des récents événements qui secouent la planète.
Voici enfin des propos qui résonnent en moi, alors que la cacophonie des média nous tire vers le bas et tente de nous anesthésier, à moins que ce ne soit de nous euthanasier…
Et je me trouve en résonance, quand je l’entends dire qu’elle a « le bourdon », comme si depuis le mois de février, quelque chose, comme une balle de flipper, venait cogner chaque coin de mon cerveau, me faisant remettre à plus tard l’écriture d’articles autour de cette actualité qui pourtant me tient à cœur et en éveil tous les jours, comme une urgence.
Dominique Aubier nous met face au réel : il nous est demandé d’arrêter de « faire », et demandé au contraire de « voir ». De choisir entre la puissance d’événements cruels et violents, ou la puissance de voir.
Dans ce moment qui arrive, qui est compris entre le 8 mars et le 28 octobre 2011, soit 231 jours, « vous aurez à faire à la puissance de parler et vous ne pourrez pas la confondre avec celle qui doit s’en aller ».
Ce qui doit s’en aller, c’est le savoir sans fondements, c’est le savoir qui n’a pas accès à la connaissance, le « savoir qui bêle », et qui ne dit pas les choses parfaitement.
Malgré quelques passages retranscrits ci-après, je vous invite à écouter ses paroles, urgentes à entendre, urgentes à comprendre et à traduire en CONSCIENCE, la seule action nécessaire à poser pour transformer ce qui nous est montré.
« Moi j’ai le bourdon, quand on a le bourdon, ça veut dire qu’une idée générale va aux quatre coins de votre pensée en touchant toute la bibliothèque qui s’y trouve, et c’est exactement ce qui m’arrive. Je me suis dit, en regardant tous ces événements du 15 février au 18-20 mars, je me suis dit, il se passe des choses incroyables, il se produit le pire. Le drame du Japon, le soulèvement de Kadhafi contre son propre peuple, ce sont des anomalies énormes, alors comment puis-je les lire ? »
(…) Dans la kabbale nous savons que l’univers a été créé sur un modèle donné, nous connaissons les clés archétypales de ce modèle, ce modèle réfère et se reproduit dans toutes les unités qui existent dans nos événements et il n’y a pas de récit narratif au monde qui de quelque façon, ne soit pas tributaire de ce codage. (…)
(…) Le problème est que tout nous arrive dans une sorte d’explosion d’éléments complexes, intriqués entre eux, et si ils vous arrivent sous une forme symbolique, cela ne se voit pas d’emblée, il faut le savoir, mais la connaissance le sait.
Quand je regarde la révolution spasmodique qui parcourt et traverse le nord de l’Afrique et touche de plus en plus de pays arabes, il y a là une impulsion générale et la terre veut que nous le sachions, elle nous le montre de visu. (…)
(…) Derrière cet événement, le monde entier est compromis, la respiration de l’humanité risque d’être nucléarisée. (…)
(…) Il faut que vous ayez le cran de savoir que pour accepter la pensée réelle qui est celle de la puissance de l’hébreu, il faut payer son éco, et il faut payer de sa personne et ce n’est pas simplement un cadeau qu’on vous fait, c’est un effort que vous devez faire pour répondre à la sollicitation magnifique qui, elle, vous est offerte ».
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