La maladie de Lyme, comme beaucoup de maladies chroniques et modernes ont toutes un point commun : un terrain dégradé par de multiples pollutions qui laisse la porte ouverte à divers organismes, bactéries, virus, champignons, et ne permet plus au système immunitaire de remplir pleinement ses fonctions.
Le corps, colonisé par des bactéries, est sujet à ce que l’on appelle maintenant des « infections froides », c'est-à-dire sans fièvre, mais entrainant une lutte chronique et épuisante. Infection qui est en fait, pour le Dr Dominique Rueff, « une pollution infectieuse ».
« Il faut tenir compte aussi bien des spécificités actuelles de l’alimentation industrielle, dont peu de gens ont conscience, car il s’agit d’une situation absolument nouvelle dans l’histoire de l’humanité, avec des pollutions agricoles, industrielles, bactériennes, virales, électromagnétiques auxquelles tant de personnes ont du mal à s’adapter. C’est de cette pollution infectieuse qu’a souffert Judith, pollution que l’on résume sous le terme « d’infections froides » et dont la borrelia n’est qu’un des acteurs parmi d’autres connus ou inconnus ». D. Rueff
Une vision qui permet de se rendre compte que soigner ces maladies ne peut se faire par des remèdes anti-symptomatiques (uniquement des antibiotiques par exemple), mais par une compréhension globale et holistique de la personne malade prise dans un environnement de plus en plus agressif dont la maîtrise nous échappe.
Il nous reste néanmoins la possibilité de rééquilibrer notre alimentation, même si cela devient de plus en plus difficile tant la nourriture est abîmée par l'Homme, et de recréer un équilibre psychique qui s'appuie sur l'amour et la douceur, pour, in fine, être le gardien de l'environnement intérieur et extérieur qui nous convient.
MT
http://www.ouvertures.net/infections-froides-un-microbe-une-maladie-la-fin-d´un-paradigme/
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