« Que valent la sagesse et la liberté, si le cœur bat dans le désert ?
Les vrais chemins sont ceux du cœur, pas ceux du monde,
et les contes connaissent par cœur, si j’ose dire, ces chemins-là.
Depuis la nuit des temps, ils nous parlent d’amour,
d’hommes et de femmes assoiffés l’un de l’autre,
joueurs, désirants, éperdus,
chiens et chats, émerveillés, bref inséparables.
Aimer.
Qu’y a-t-il, au fond, de plus important ? »
Henri Gougaud
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