28 février 2013
4
28
/02
/février
/2013
23:20

Voici deux citations qui s'éclairent mutuellement, et nous montrent qu'entre lumière et ombre il n'y a rien à rejeter, mais seulement à "absorber" ou à "assumer".
Nous sommes tels des daguerréotypes*, sensibles à la lumière et pénétrés par elle, et nous nous révélons par un processus alchimique invisible et fragile.
Il nous appartient de maintenir l'équilibre entre ombre et lumière à chaque instant, et de faire en sorte que les "plaques" de nos cellules soient suffisamment exposées à l'information lumineuse afin que tout ce qui est latent en nous puisse se révéler à son heure au contact de l'amour.
MT
« La lumière ne peut venir que des ténèbres assumées »
Annick de Souzenelle
« La lumière ne peut venir que des ténèbres assumées »
Annick de Souzenelle
« Tout homme plongé dans l'obscurité écarquille les paupières comme si de plus de ténèbres absorbées pouvait naître la lumière. »
René Barjavel
*Le daguerréotype est un procédé uniquement positif ne permettant aucune reproduction de l'image. Il est constitué d'une plaque, généralement en cuivre, recouverte d'une couche d'argent. Cette plaque est sensibilisée à la lumière en l'exposant à des vapeurs d'iode qui, en se combinant à l'argent, produisent de l'iodure d’argent photosensible. Lorsqu'elle est exposée à la lumière, la plaque enregistre une image invisible, dite « image latente ». Le développement de l'image est effectué en plaçant la plaque exposée au-dessus d'un récipient de mercure légèrement chauffé (75°C). La vapeur du mercure se condense sur la plaque et se combine à l'iodure d'argent en formant un amalgame uniquement aux endroits où la lumière a agi proportionnellement à l'intensité de celle-ci. L'image ainsi produite est très fragile et peut être enlevée en chauffant la plaque, ce qui produit l'évaporation du mercure de l'amalgame. (Wikipedia)
*Le daguerréotype est un procédé uniquement positif ne permettant aucune reproduction de l'image. Il est constitué d'une plaque, généralement en cuivre, recouverte d'une couche d'argent. Cette plaque est sensibilisée à la lumière en l'exposant à des vapeurs d'iode qui, en se combinant à l'argent, produisent de l'iodure d’argent photosensible. Lorsqu'elle est exposée à la lumière, la plaque enregistre une image invisible, dite « image latente ». Le développement de l'image est effectué en plaçant la plaque exposée au-dessus d'un récipient de mercure légèrement chauffé (75°C). La vapeur du mercure se condense sur la plaque et se combine à l'iodure d'argent en formant un amalgame uniquement aux endroits où la lumière a agi proportionnellement à l'intensité de celle-ci. L'image ainsi produite est très fragile et peut être enlevée en chauffant la plaque, ce qui produit l'évaporation du mercure de l'amalgame. (Wikipedia)
Published by Michèle Théron lejour-et-lanuit.over-blog.com
-
dans
Mes citations inspirantes
commenter cet article …
commenter cet article …