Qui n'a pas été traversé de ces plaintes, de ces revendications sur le fait "d'avoir sa place", de "prendre sa place" ou que "quelqu'un prenait notre place"?
Voici tout d'abord une clarification entre certains rôles que l'on a ou que l'on a perdu, et la place de "qui nous sommes" et qui, elle, est inaliénable.
Ensuite, juste se souvenir que derrière cette souffrance de "ne pas avoir sa place" se cache un choix oublié, celui d'avoir opté pour une stratégie de repli à un moment donné, afin de ne plus être à un endroit qui faisait mal.
Une belle invitation à changer « la place » de notre regard sur la question…
MT
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