Le professeur Luc Montagnier, longtemps « étiqueté » découvreur du virus du sida VIH, a aujourd’hui un discours très différent, ou peut-être plus transparent, sur le sujet.
Il affirme, contre toute attente, étant donné que la tri-thérapie a été proposée comme LA solution, que l’on peut se débarrasser du HIV avec des moyens simples et peu coûteux.
Une hygiène de vie et une hygiène alimentaire sont les premiers moyens à mettre en place en pour enrayer ce fléau, particulièrement en Afrique où les populations ont un niveau de vie ou des conditions de vie défavorables.
http://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc
Mais, direz-vous, les personnes dites atteintes du VIH en Europe ou ailleurs ne sont pas dans des conditions aussi difficiles qu’en Afrique ? Probablement pas, mais l’immunité est un système dont l’équilibre est très subtil et dépend beaucoup de notre environnement, physique comme psychique. Le fait par exemple que la maladie ait atteint en grande partie les milieux homosexuels, peut s’expliquer par le fait que les conditions à vivre cette homosexualité sont loin d’être idéales dans notre société et que tout stress diminue fortement l’immunité, à fortiori si c’est un stress répétitif, sur plusieurs années, pour tenter de s’adapter et de résoudre ce qui se vit parfois comme un conflit intra-psychique.
Et pour aller plus loin, il est intéressant de lire ce qu’en dit la Médecine Nouvelle du Dr Hamer, à savoir que la réaction immunitaire détectée chez les séropositifs, serait une allergie au smegma, substance du prépuce, allergie confirmée d’une certaine façon par le test mis au point en 1983 par Montagnier et Gallo.
Sauf que ce test ne révèlerait qu’une réaction antigène (anticorps, comme dans le rhume des foins, l’allergie alimentaire, etc.), ici une allergie au smegma. Ils ont découvert, dans des réserves de sang, des anticorps au smegma qu’ils ont appelé HIV (virus du déficit immunitaire humain).
http://www.germanique-nouvelle-medecine.com/index.php?option=com_content&task=view&id=99&Itemid=27
L’explication donnée par le décodage biologique, qui s’appuie sur notre biologie et nos réflexes archaïques est tout à fait plausible et cohérente. Chaque information reçue par le corps est mémorisée en fonction de l’état émotionnel dans lequel on se trouve à ce moment là. Tout conflit psychique est gardé en mémoire dans notre cerveau, en attente d’être résolu.
Un événement nouveau, de même type ou en lien avec le premier traumatisme pourra mettre au jour ce conflit en latence. Il entraînera un effondrement psychique et donc provisoirement une déficience physique voire immunitaire, dans laquelle l’information va être réveillée, remise en mouvement, réactivée.
La réponse médicamenteuse ne permet alors pas de comprendre ce qui se joue et d’accompagner le processus ainsi réactivé par un événement, et qui permettrait la guérison, pas seulement du « corps » en tant qu’entité physique, mais de l’esprit, de l’âme qui a été blessée à un moment donné de son parcours.
C’est tout l’enjeu de la « maladie » et de la « guérison ». Le corps parle et la plupart des traitements, solutions, médecines que l’on propose pour le « guérir », ne font qu’étouffer sa vérité et les raisons qui l’ont rendu malade.
« Le corps ne ment jamais » disait Alice Miller. Et chaque vérité enfouie dans notre corps, non conscientisée, non écoutée, non aimée, n’aura de cesse de se manifester et de crier toujours plus fort, peu importe les moyens, pour faire entendre sa loi.
A chacun de trouver le juste équilibre entre médecine d’accompagnement, pour soutenir le corps en souffrance, et médecine de l’âme, pour comprendre et aller à la source du problème.
MT
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