Voici une réponse claire et concise pour savoir faire la différence entre nos actions liées à la survie ou en lien avec notre élan de vie.
Reconnaître ce qui est l’essence même de la vie et ce qui est cette essence de vie traduite par le conditionnement de survie.
Clarifier aussi préférence et dépendance, les jeux d’identification, faire la différence « entre la beauté de la vie qui agit en moi et comment je peux discerner quand je suis agi par mes conditionnements ».
Des repères précis :
La survie : tension, peur, exigence, agitation, souffrance…
La vie : pas d’urgence, joie, détente, paix avec ce qui est, en lien avec ce qu’Isabelle Padovani appelle « le père et moi ne faisons qu’un », qui passe par une sensation corporelle, une attention de chaque instant face à ce qui nous traverse afin de remettre la distance et le discernement nécessaires vis-à-vis de l’identification à notre enfant Moi.
MT
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