Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 décembre 2016 6 10 /12 /décembre /2016 00:23

 

 

Une histoire bouleversante de maltraitance, où l'on peut une fois de plus souligner l'importance de ce que Alice Miller appelle "un témoin lucide", ici en l'occurrence l'infirmière scolaire qui ne lâchera pas cette enfant jusqu'à découvrir ce qu'il se passe réellement.

Puissions nous tous devenir des "témoins lucides", dans la vie, pour nos relations, dans le travail, dans la société, c'est à dire être les garants de ce qui se fait ou ne se fait pas, prendre la parole pour ne pas laisser faire, pour éclairer, pour rétablir la cohérence et pour permettre aux personnes en détresse de retrouver leur intégrité.

 

MT

 

 

Repost0
7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 22:08

 

Un témoignage et un article qui reviennent sur les conséquences des blessures de l'enfance, en particulier les blessures d'abandon qui, à l'âge adulte, peuvent nous entraîner dans des relations toxiques.

 

Même si à l'origine il y a une blessure pour les deux partenaires, celui qui exprime sa blessure par la fuite, la maltraitance, la froideur, la non implication relationnelle, la mise en dépendance (en sachant parfaitement créer des situations d'attente : manquer les rendez-vous, ne pas être à l'heure, ne pas vous prévenir des changements, vous mettre en concurrence avec d'autres membres de sa famille ou d'autres personnes auxquelles il va accorder ses bontés, son temps, ses talents, etc.) va être celui qui a le contrôle sur la relation et l'autre partenaire, qui lui, va être en souffrance.

 

Dans l'article il est dit que les deux sont en souffrance. Je mets une nuance et fait une différence entre "être en souffrance" et "sentir la souffrance" ou souffrir. Des traumatismes anciens laissent les personnes en souffrance, ce qui veut dire que la souffrance est inscrite et qu'elle met en mouvement la psyché de façon inconsciente, dans des mécanismes de protection. Mais il est possible de ne pas ressentir la souffrance, particulièrement pour les personnes qui ont annulé leur ressenti émotionnel et deviennent ainsi anesthésiés.

 

Et généralement, dans ces relations toxiques, un des partenaires est émotionnellement "compétent" et l'autre non. Ce qui donne d'un côté une personne très émotionnelle, de l'autre quelqu'un de froid, qui ne ressent rien mais qui se nourrit de l'émotionnel de l'autre (ce qui lui permet de faire l'économie d'aller contacter son propre émotionnel et de souffrir). Evidemment, pour la personne émotionnelle, dans un premier temps, elle ne détecte pas que l'autre est à ce point annulé. Ainsi commence le jeu du chat et de la souris, qui peut devenir un véritable enfer. Pour être maltraité, il faut un maltraitant, pour être abusé, il faut un abuseur, pour être abandonné, il faut un abandonneur, etc. Deux facettes d'une même pièce, mais un côté qui fait plus "bobo" que l'autre.

 

Mais ce qui est important de comprendre, c'est que nul ne mérite de la maltraitance, qu'elle soit verbale, psychologique, physique, et qu'il faut tourner des talons dès qu'une personne vous parle mal, vous manque de respect, fait passer ses frustrations sur vous en jouant les matadors. 


Tourner des talons le plus tôt possible devrait être le conseil indispensable à donner à toute personne qui décrit ce type de situation. Malgré cela, ce n'est pas si facile à faire, pour la simple raison que l'enseignement se fait... par l'expérience...  Néanmoins le plus tôt est le mieux, en partant avec la certitude que cela ne s'appelle pas de l'amour et qu'il faudra se tourner vers sa blessure originelle pour en prendre soin. Mais tant que l'on reste sous emprise, cette blessure s'agrandit et ne peut jamais guérir.

 

Mais au fond de soi, la petite voix intérieure sait que quelque chose cloche.

Il faut donc écouter...

Ding Dong.... ;-)

 

 

MT

 

 

 

Repost0
30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 01:27

 

 

Ondes électromagnétiques, métaux lourds, pesticides,... l'environnement toxique génère de plus en plus de pathologies.

 

 

Repost0
29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 21:50

A 13 ans, le fils de Yannick Schraen, Yannick, tombe malade : il est victime de tremblements, douleurs musculaires à un point tel qu’il ne peut plus marcher. A l’hôpital, les symptômes s’empirent (nausées, brûlures, photophobie, escarres, paralysies) mais les médecins ne parviennent pas à trouver l’origine des maux de Yannick. Onze mois plus tard, Yannick est interné en service de pédopsychiatrie, car « le problème viendrait de la tête » selon les médecins. C’est un documentaire intitulé « Quand les tiques attaquent » qui poussera les parents à envoyer le dossier médical de Yannick à l’association « Lyme sans frontières ». Avec les soins appropriés, Yannick retrouvera progressivement la santé…

 

 

 

 

Parmi les nombreux articles concernant la maladie de Lyme postés sur ce blog, j'avais déjà parlé de ce garçon dont des reportages avaient témoigné du parcours ahurissant, tant pour lui que pour ses parents. 

 

L'émission Mille et une vies consacre une émission entière à ce cas pas banal, mais finalement qui concerne plus de personnes qu'on ne le croit.

 

Car bon nombre de malades ne sont pas reconnus, vivent des calvaires en étant ignorés, sous-évalués et dans un isolement difficile à décrire puisque peu de personnes se rendent compte et peuvent mesurer ce que cela signifie que d'avoir des douleurs quotidiennes, à en pleurer ou à en hurler, c'est selon, des problèmes musculaires et donc de marche, des problèmes cardiaques, neurologiques, digestifs et un empoisonnement qui vous détruit de jour en jour.

 
Il faut lire le commentaire par exemple que la personne a posté sur le site de France 2 : "Je pensais ne plus retrouver ma mémoire. c'est horrible cette perte musculaire, douleurs, impossibilité de se nourrir de bouger ...", comme tant d'autres que j'ai lu sur les réseaux sociaux et sur internet, pour comprendre la détresse que représente cette maladie et je sais de quoi je parle, pour ceux qui ont compris que j'étais passée par là.

 

Je me demande si, au bout du compte, l'enfer que l'on vit à travers cette maladie, ne vient pas encore plus de l'indifférence et de la non-reconnaissance, que de la maladie elle-même....

 

Ne manquez pas d'écouter le passage où l'hôpital envoie les gendarmes chez les parents, avec comme accusation  que ceux-ci poussent leur fils au suicide... jusqu'où peut-on aller pour ne pas se remettre en cause ?

 

Et le calvaire de Yannick n'a duré "que" un an... je vous laisse imaginer lorsque ça dure, 5, 10 ou plus...

 

 

 

 

Diagnostic pour cet adolescent : psychiatrie....

Et de toutes façons, savoir que lorsque vous parlez de Lyme, encore et encore à votre entourage, tellement vous souffrez et que vous voyez qu'on ne vous croit pas, qu'on ne vous comprend pas, qu'on pense que vous surjouez vos symptômes, alors que vous avez juste la sensation que vous êtes entrain de mourir, et qu'on vous regarde comme une créature "qui ne veut pas guérir", c'est sûr que l'on n'est pas très loin de la folie....

Mais de quel côté se trouve la folie.......

 

 

 

Une partie de la médecine se résume à cela aujourd'hui  : on ne connait pas, on ne comprend pas, circulez, c'est dans votre tête...

 

 

Comme dans beaucoup de cas, ce sont les malades eux-mêmes qui font leurs investigations, qui, par intuition, trouvent les pistes qui vont les mettre sur la voie de la maladie de Lyme.

 

 

J'estime avoir vécu un calvaire avec la maladie de Lyme, mais je n'ose pas penser à cet adolescent et la façon dont il a été traité, catalogué, et le traumatisme que cela a dû représenter pour lui...

 

Trois fois sur quatre les gens n'ont aucun souvenir de la piqûre de tique.

Et une fois sur deux seulement apparaît un érythème migrant.

"Ce sont les malades qui pensent à Lyme, pas les médecins, puisque c'est une maladie qui n'existe pas et qui est inventée par internet", dit le Pr Perronne, qui subit des attaques de ceux qui minimisent les impacts de cette maladie.

 

Pour ma part, heureusement que j'ai entendu parler cet homme dans une interview au bout de trois ans que j'étais déjà malade (j'étais déjà bien atteinte, vu que je n'avais aucun diagnostic), et d'avoir la confirmation que les personnes malades n'étaient pas folles, et que certaines, qui avaient perdu toute leur vie, pouvaient remonter la pente avec un traitement...

 

 

 

 

Repost0
29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 21:06
Ce sentiment dans ton coeur - Mooji

 

 

Aie ce sentiment dans ton cœur :

Je suis déjà élu(e) pour la liberté.

~ Mooji

 

 

Have this feeling inside your heart:

I am already chosen for freedom.

~ Mooji

 

 

 

 

Repost0
28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 19:38

 

 

Chaque jour il y a de bonnes nouvelles et des projets en marche pour un futur meilleur...

 

 

 

Repost0
27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 21:01
Jetez tout ! Mooji

 

 

 

« Jetez tout, oubliez tout ça ! Vous apprenez trop, vous vous souvenez trop, vous essayez trop… Détendez-vous un peu, donnez une chance à la vie de couler à sa propre façon, sans être assistée par votre mental et votre effort. Arrêtez de diriger le courant de la rivière ! »

~ ॐ Mooji

"Throw everything away, forget about it all! You are learning too much, remembering too much, trying to hard … relax a little bit, give life a chance to flow its own way, unassisted by your mind and effort. Stop directing the river’s flow!"

~ ॐ Mooji

 

 

 

 

 

Repost0
26 novembre 2016 6 26 /11 /novembre /2016 00:25
Dans la nuit

 

 

 

 

Dans la nuit

Brille parfois une lueur

Lointaine

Ancienne

Inaccessible

 

C’est un appel

Comme une voix profonde

Un serment, une promesse

Inaudibles pour toi, là,

Dans cette nuit sans étoile

 

Une flamme s’est brisée

Tu ne te rappelles plus quand

Tu en gardes le souvenir mordant

Dans cette chair silencieuse

Et tu sais que le mouvement

Etait ton ancienne demeure

Où la lumière grandissait

Comme des ronds dans l’eau.

 

 

MT ©

 

 

 

 

 

Repost0
25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 23:02

 

 

La douleur, la maladie, les transformations du corps à travers les épreuves, nous invitent à accueillir des parts en nous que les diktats de la société ne nous habituent pas à accepter...

Un travail de bienveillance envers soi, pas toujours facile, car même en dehors du regard des autres, il est parfois difficile d'accepter son propre regard.

Delphine Ville, en partageant son ressenti et son chemin, nous ouvre la voie.

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

Repost0
25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 21:57
 
 
In these songs, may you find something that was lost long ago, echoes of a time when we knew our direct connection to the land and one another was our only chance for survival...
May a piece of our story be retold and reclaimed here.
May we remember that each and every one of us carries blood that is indigenous to somewhere on this great planet.
We may have to reach far back in time to find those roots but they live on in you.
May the loss of our own culture and heritage, ignite a fire in us to preserve and protect those that still remain.
May we find our way through these storms of violence and injustice. May peace prevail and Beauty Thunder.

 

 

"Dans ces chansons, puissiez-vous trouver quelque chose qui a été perdu il y a longtemps, échos d'un temps où on savait que notre connexion directe à la terre et un autre était notre seule chance de survie..."

 

 

La voix de Peia que j'adore... vibration d'essence, vibration sacrée, vibration du féminin, vibration de la beauté en ondes sonores...

 

 

 

 

Repost0
25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 19:10
œuvre visuelle et sonore de Françoise Jolivet et Roy Lekus

œuvre visuelle et sonore de Françoise Jolivet et Roy Lekus

 

 

Je voulais pour nous deux bien mieux qu'une croyance
Alors je t'ai trouvé une sorte d'église
Dont les murs ne sont pas couverts de faïence, ni de marbre
Les vitraux je les brise, les piliers sont des arbres

L'autel est un rocher tapissé de lichen
On n'y parle ni pardon ni péché
On n'y fait pas commerce de douleur et de peine
On n'y adore ni Dieu ni Diable
Mais la beauté des corps
Et le sort qui a mis ton amour dans mes veines

Je nous veux sans frontière sans limite et sans loi
Je veux te respirer te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas

Nous deux nous méritons bien plus haut qu'une voûte
Alors je t'ai trouvé une plaine sans routes
Sans autres limites que les points cardinaux
Et sans traces que celles de nos chevaux qui absorbent l'espace

Au sommet d'une colline, j'allume une flamme
Pour qu'on sache qu'un homme et une femme
Fêteront sous la lune la nuit de l'origine
Un sacrifice au bonheur de leurs âmes
Au futur de leurs fils
Ici les dieux s'adorent sans aucun artifice

Je nous veux sans frontière sans limite et sans loi
Je veux te respirer te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas.

 

 

Daran

 

 

 

Repost0
25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 17:56

 

 

 

 

.

 

Je ne voudrais pas faire du mauvais esprit ou sembler mauvaise langue... ;-), mais est-ce à dire qu'à partir du moment où la bio se voit confiée aux agro-industriels, il est temps de la promouvoir, après tant d'années à avoir mis des freins à son développement et à son soutien ???

 

 

 

 

 

 

 

 

Repost0
25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 16:07

 

 

 

Bonne question : l'escalier, il est en hêtre ou en chêne? En être ou en chaînes?

 

La question de la violence conjugale, abordée avec cette courte vidéo qui dénonce les hommes qui ont un peu trop ce que j'appellerais "l'esprit d'escalier"...

 

 

Expression qui tombe à pic lorsque l'on sait que "l'esprit d'escalier" signifie manquer de répartie, ne pas savoir répliquer sur le moment, mais après "coup".

 

 

Des coups qui compensent un manque, certes, dont trop de femmes font encore les frais. Certains hommes ou enfants aussi sont concernés, la violence ne se limite, hélas, pas qu'au sexe féminin, mais les statistiques montrent que les femmes sont les principales victimes de par le monde, il s'agit la plupart du temps d'un rapport de force, qui touche donc les plus faibles, ou considérés comme tels... la femme étant encore, n'est-ce pas, "le sexe faible" dans la tête de beaucoup.

 

 

Et lorsque Nicole Ferroni commence sa vidéo avec l'information comme quoi la violence débute souvent au moment de la grossesse de la femme, c'est exact, 40 % des violences débutent à cette période, lorsque l'homme ne supporte pas d'être délaissé ou ne se sent plus au centre de la relation. 23 % des IVG sont faits à cause de ces violences pratiquées sur la femme au moment de sa grossesse.

 

 

Une démonstration, s'il en est besoin, que chaque état de vulnérabilité est l'occasion pour certaines personnes de renforcer leur domination. Maladie, vieillesse, grossesse, etc. peuvent être des situations anxiogènes pour des personnes immatures qui ont de grosses blessures ou de gros traumatismes et qui ne supportent aucune "concurrence". Toute demande d'attention que nécessitent ces états particuliers, est de l'attention qui leur est retirée et qui vient toucher directement leur blessure narcissique.

 

 

D'où aussi la grande recrudescence de personnes dites perverses narcissiques, qui peuvent être en "stand by" ou passent inaperçues avec des personnes ne les mettant pas trop en danger, mais dont le système pervers narcissique est réactivé avec une personne vulnérable, ou dont la personnalité les confronte à leurs propres limites ce qui génère beaucoup de frustrations.

 

 

Les chiffres restent alarmants, tout en sachant que seulement 10% des violences conjugales font l'objet d'une révélation...  (https://www.senat.fr/rap/r09-553/r09-5533.html). Et même si aujourd'hui, le 25 novembre, est dédié à la lutte contre la violence conjugale, la meilleure façon de lutter contre cette violence, est de créer une société où toutes les violences seraient dénoncées à leur juste mesure, où le système éducatif, parental ou scolaire, ne resterait pas impuni lorsqu'il est violent, où l'enfance serait protégée, car tout y trouve sa source, dans les abus, les maltraitances physiques ou psychologiques.

 

Mais les dénis et les silences sont l'ultime violence faite aux êtres humains qui sont laissés dans leurs souffrances. D'où l'importance d'en parler, de dénoncer, de se sentir concernés, même si nous ne sommes pas directement touchés.

 

Et bien sûr, à un moment, c'est à chacun d'aller rencontrer ces blessures, pour aller les accueillir, je ne dis même pas les guérir, mais les accueillir, afin de ne pas continuer à les faire subir à d'autres être humains.

 

 

Inutile de dire, pour revenir à une note plus légère, qu'il est préférable de choisir un escalier en hêtre, avec ou sans moustache ;-)

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entre 2010 et 2012, 83 000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viols par an (0,5% des femmes). 83% d’entre elles connaissent leur agresseur :

 -31% des auteurs sont connus mais ne font pas partie du ménage de la victime ;

 -31% des auteurs sont les conjoints vivant avec la victime au moment des faits ;

 -21% des auteurs font partie du ménage mais ne sont pas le conjoint ;

 -17% des auteurs sont inconnu de la victime.

11% des victimes seulement portent plainte, et 13% déposent une main courante.

 

 

 

 

Et il est important aussi de ne pas pervertir le regard que l'on pose ou que l'on véhicule sur les filles, futures femmes. Ce ne sont pas des objets, elles sont fortes, courageuses, créatives, autonomes, pour peu que l'on ne bride pas leur vraie nature...

 

 

 

 

Il était une fille.... magnifique chanson de Mathilde, une artiste qui sait faire vibrer ce qu'elle chante et ce qu'elle écrit...
A ECOUTER EN CE 25 NOV journée de sensibilisation aux violences faites aux femmes
TOUTES les violences, physiques ou psychologiques...

 

 

Repost0
24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 23:53
L'Amour de l'eau

L'Amour de l'eau

 

L'Amour de l'eau

 

 

 

 

 

Ta'Kaiya Blaney chante pour l'eau et est engagée dans de nombreux discours au nom de l'eau...

 

Comme elle dit, "dans ma culture, tout est interconnecté".

 

L'eau vivante de la terre doit rester vivante.

Oublions-nous que nous sommes constitués de 70 à 90 % d'eau?

Comment le sort de l'eau ne nous concernerait-il pas?

 

MT

 

 

 

 

 

 

Son discours à TEDx alors qu'elle est âgée de 10 ans

 

 

 

 

Repost0
24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 20:49

 

 

Malgré toutes les "bonnes nouvelles", il ne faut pas pour autant laisser de côté quelques luttes, et cesser de voir toutes les conséquences que les produits chimiques ont sur la santé.

Et lorsque l'on voit que "la bio" va être vendue aux agro-industriels, la partie n'est pas gagnée, puisque cela va être entraîner ce que certains appellent une véritable "purge" dans le secteur.

 

"Le réseau des Amap, Terre de liens, la Frapna, le rés’OGM Info, etc. : la liste est longue des associations promouvant le bio qui perdent des financements. À l’image de la Fédération régionale d’agriculture biologique (Frab), pivot dans le domaine, qui va perdre 500.000 euros, passant de 720.000 à 220.000 euros de subventions par an."

 

Des choix qui vont faire que la bio sera aux mains même de ceux qui pendant des années ont freiné son essor. Un système bien rodé d'une société aux stratégies perverses, où l'on détruit les forces vives pour se les accaparer ensuite.

 

MT

 

 

 

 

 

Repost0

Présentation

  • : Le blog de lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • Le blog de lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • : Un lieu où pourraient se cotoyer le jour et la nuit, les univers différents de la pensée logique, rationnelle, structurée à partir des informations émanant de toute part, et de la pensée vagabonde, celle qui erre la nuit, mais aussi le jour, dans l'envers des choses, à la recherche de l'impalpable, de la beauté et de la magie. Michèle Théron
  • Contact

  • lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. 
Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...
  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...

Auteur - Photographe

Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

Recherche