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31 août 2014 7 31 /08 /août /2014 14:37

 

 

 

Entre 1938 et 1939 Sir Nicholas Winton a organisé une vaste opération pour sauver les vies de 669 enfants juifs tchéquoslovaques, en les faisant échapper des camps de la mort Nazis pour les cacher en Angleterre.

 

En 1988, la femme de Winton a retrouvé le carnet sur lequel, en 1939, il avait inscrit la liste complète des noms et des photographies des enfants.

 

Dans cette vidéo on lui fait la surprise de revoir certaines personnes qu’il a sauvées 50 ans auparavant.

 

De voir ces personnes qui ont pu continuer à vivre, à suivre leur chemin, grâce à l’intention et au geste d’un seul homme, je m’interroge.

 

Dans notre monde tourmenté, où la responsabilité, la prise de risque, l’élan du cœur sont parfois absents, où la violence, la guerre, la maltraitance sont encore bien trop fréquentes, y aura-t-il dans le futur des enfants qui devront leur vie à des adultes d’aujourd’hui ? Serons-nous assez nombreux pour mettre nos pensées en action et faire que la vie continue pour le meilleur ?

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 août 2014 6 30 /08 /août /2014 22:02

 

 

 

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Vous êtes nés avec un potentiel.

 

Vous êtes nés pour la bonté et la confiance.

 

Vous êtes nés avec des idéaux et des rêves.

 

Vous êtes nés pour accomplir de grandes choses.

 

Vous êtes nés avec des ailes.

 

Vous n'êtes pas faits pour ramper, alors ne le faites pas .

 

Vous avez des ailes. Apprenez à les utiliser et envolez-vous.

 

 

 

Rûmi

 

 

 

 


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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 15:45

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Connectez-vous avec votre existence, connectez-vous à l’intérieur, connectez-vous avec cette beauté infinie dont vous êtes faits.

 

Et puis exprimez-la dans le monde.

 

Faites du monde autour de vous une expression de cette beauté, de cette puissance, de cette conscience.

 

 

Nassim Haramein

 

 

 


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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 04:49

 

 

 

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Lorsque vous vous dites Indien, Musulman, Chrétien, Européen, ou autre chose, vous êtes violents.

Savez-vous pourquoi ? C’est parce que vous vous séparez du reste de l’humanité, et cette séparation due à vos croyances, à votre nationalité, à vos traditions, engendre la violence.

Celui qui cherche à comprendre la violence n’appartient à aucun pays, à aucune religion, à aucun parti politique, à aucun système particulier.

Ce qui lui importe, c’est la compréhension totale de l’humanité.

 


Krishnamurti

 


 

 


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26 août 2014 2 26 /08 /août /2014 15:40

 

 

 

 

 

 

 

Depuis toujours ce monde à haï la lumière -

Mais heureux qui en a saisi le rayonnement !

 

Frithjof Schuon

 

 

 

 

 

 

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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 14:03

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Graines de pensées

 

 

 

 

Après la mort de la fleur

Il restera toujours les graines

Pour parler de toi

Ce qui a disparu est invisible

Et ce qui reste le devient tout autant

Caché au cœur de la terre

Protégé au centre du cœur.

 

MT ©  

 


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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 20:55

 

 

Je pense qu’en tant qu’humains, et en tant que personnes responsables, nous devons rendre compte de nos actes — et nous devons le faire au niveau spirituel. Je ne vois pas comment nous pouvons honorer la spiritualité si nous la tenons éloignée de la terre. Nous ne sommes pas des anges.
Il existe un espace, un monde de lumière où vivent les anges, et où l’on peut se rendre et interagir avec eux. C’est une très belle dimension : les anges sont des êtres de lumière qui ne se prosternent que devant Dieu. Dans Le soufisme, on l’appelle l’ordre divin
 — et, même là, il y a des anges de pouvoir, des anges de beauté… D’une certaine façon, il est beaucoup plus facile d’être parmi des anges, dans leur monde, parce qu’ils ne font que se prosterner devant Dieu, parce qu’ils sont juste faits de lumière.
Mais nous sommes humains, et il y a deux mondes en nous : le monde de la matière, des éléments, et celui des anges. Et nous ne pouvons pas en rejeter un, nous ne pouvons pas rejeter la terre en faveur de la lumière, tout comme nous ne pouvons pas renier la lumière en faveur de la terre.
Pour moi, la maturité spirituelle c’est être capable de vivre dans les deux mondes.


Vous savez, à 23 ans, j’ai été emporté dans ce monde de lumière, et bien sûr une part de moi voulait y rester parce que tout était lumière ! Vous n’avez aucun problème ; vous n’avez pas besoin de gagner votre vie, pas de taxes à payer, ni d’essence à mettre dans la voiture, vous pensez et soudain, vous êtes là où vous voulez. C’est merveilleux, vous êtes parmi les anges, près de l’âme d’autres personnes…
Mais le mystère de l’incarnation demeure — c’est une chose que le mythe chrétien, l’histoire chrétienne, le christianisme nous a enseigné : le mystère de l’incarnation. Quand le divin s’incarne, quelque chose d’extraordinaire se produit. Et cela se produit parce le divin s’est incarné. C’est pour cela que je parlais des femmes tout à l’heure ; Je trouve vraiment dommage qu’aujourd’hui (je parle de la conscience féminine) les femmes aient oublié le grand mystère auquel elles peuvent participer : apporter la lumière de l’âme dans le monde physique.
Pour je ne sais pour quelles raisons, cela a été caché aux femmes… Elles ne le savent même pas… Je veux dire, elles ignorent jusqu’à l’ampleur même du mystère auquel elles participent. En tant qu’humains, nous nous situons là où les deux mondes se rejoignent, là où la matière, la physique, et le monde de la lumière se rencontrent. Et il est intéressant de noter que, dans le christianisme, c’est aussi là que réside le mystère de l’amour. Les enseignements du Christ portaient sur ​​le mystère de l’amour — et quelque part cela a été voilé et oublié. Mais c’est dans cette union du monde de la lumière et du monde de la matière que se situe l’incarnation de l’amour.

 

Le poète William Blake dit :
Et nous sommes sur terre l’espace d’un bref instant,
Pour apprendre à supporter les rayons de l’amour.

 

Tout est dans la façon dont nous appréhendons et vivons ce mystère. Encore une fois, il est facile, lorsque l’on atteint un certain stade, de se dissoudre dans l’amour. Mais parce que nous sommes humains, nous connaissons aussi la limitation de la matière, les limites de la vie humaine ordinaire. J’espère qu’il y aura assez d’hommes et de femmes, suffisamment matures sur le plan spirituel, pour rapprocher les deux mondes, pour les tenir ensemble ; parce qu’en rapprochant ces mondes, il peut naître quelque chose de nouveau. Pas en allant uniquement vers la lumière, ni en restant dans le monde de la matière. Pour vivre dans le monde de la matière, nous avons la science, nous avons la technologie, nous avons les affiches sur les murs, peu importe ce qui est affiché ; et pour demeurer dans le monde de la lumière, il existe de magnifiques enseignements spirituels — de magnifiques enseignements, qui existent depuis des siècles et qui, pourtant, ne sont toujours pas véritablement appliqués.


Il est temps d’unifier ces deux mondes, d’apporter la lumière de notre âme dans la vie quotidienne, dans la relation avec la Terre ; c’est quelque chose qui doit être fait maintenant. Il y a urgence. Et quelle est donc la nature du travail qui doit être fait ? Les Soufis sont souvent décrits comme les Fils de l’instant, parce qu’ils répondent à ce que réclame l’instant — pas un présent abstrait, mais le moment présent, un présent empreint de responsabilité. Et c’est là, dans notre conscience. Nous n’avons même plus besoin de lire entre les lignes. Le Soufi traditionnel lit la vie entre les lignes pour voir ce qui se passe réellement. Vous n’avez pas besoin de lire entre les lignes pour savoir que le niveau de la mer monte, que l’air est de plus en plus pollué, que les espèces disparaissent. C’est ce qui se passe à présent. Nous sommes ici et nous avons la lumière du divin en nous. Comment allons-nous utiliser cette lumière face aux besoins du moment, face à la relation à la Terre ?


Comme vous vous en doutez, c’est à partir du mélange de ces divers éléments que quelque chose de nouveau pourra naître — si c’est la volonté de Dieu. Dans une certaine mesure, c’est beaucoup plus simple, il y a un tel besoin ! Nous devons inclure la Terre dans nos prières. Elle n’est pas lointaine. Je trouve intéressant… Je suis sûr que si vous appartenez à une communauté spirituelle vous priez, vous priez pour ceux qui souffrent, vous priez pour ceux qui sont aux portes de la mort… nous prions souvent pour les gens qui meurent, pour la paix de l’âme. Ces prières ont des propriétés curatives et sont puissantes, et si c’est une communauté qui prie, c’est alors très puissant. Et c’est juste une étape, nous devrions maintenant prier pour la Terre aujourd’hui, parce qu’elle a besoin de nos prières ; pourquoi devrions-nous l’exclure ? Nous prions pour un ami mourant, pourquoi ne pas prier pour une mère mourante ? Ainsi, la boucle sera bouclée.


 

 

le texte original et la vidéo en anglais se trouvent sur le site "Carnets de rêves" :

http://carnetsdereves.wordpress.com/2014/08/24/llewellyn-vaughan-lee-lincarnation-de-lamour/#comment-118

 

 

 

 


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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 23:54

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Je suis une très belle femme, d’une beauté qui ne pâlit pas. Je l'ai méritée, découverte, libérée de la poussière, tel un joyau, l’ai ramassée et faite briller. Pendant des années, je ne l'ai pas vue, même si je pressentais qu’elle était là. Maintenant elle brille et s’épanouit. Je suis en bonne santé, compétente, indépendante, forte et toujours aussi fragile, parfois terrassée par un soupir.

 Mon corps est celui d'une créatrice, les angles rencontrant les courbes, la dureté glissant vers la douceur. Je suis une Mère, une Fille, une Sœur, une Amante pour moi-même. Caline et courageuse, j’ouvre mon cœur. Mon corps est ma maison, ma maison est un temple dédié à la vie, confortable, chaleureux et empli de trésors.

 

Je suis le parfum des épices chaudes capté dans la brise, je suis les rires qui s’envolent par la porte. Je partage seulement avec ceux qui m’honorent telle que je suis et je protège mon espace, mon temps et moi-même de ce qui m’envahit. Je recherche mon centrage au milieu du chaos, pratiquant la paix même si les chiens sauvages hurlent dans mon esprit.

 

J’utilise le pouvoir pour le plus grand bien, laissant aller ma colère en terrain neutre, sans avoir d’innocent en ligne de mire. J’apprends comment être tenace et quand lâcher-prise, et je veux sentir toutes les émotions, intercepter leur intensité et exaltation, m’éveiller en chaque cellule.

 

Je n’ai plus peur de ma vie. Ma beauté et ma force, toutes deux, transcendent mon âge, le temps et peut-être même cette vie. Chaque jour je suis nouvelle, encore plus en accord avec moi-même.

 

Ici et maintenant, je crée mon monde.

 

 

Karen Andes, A Women's Book of Strength

 

 

 


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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 21:48

 

 

Une parole claire, remarquable, courageuse et très lumineuse.

Juste écouter et se laisser inspirer de cette leçon de vie.

 

MT

 

 

 

 

 

 

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21 août 2014 4 21 /08 /août /2014 20:43

 

 

 

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Éteins mes yeux : je te verrai encore

Bouche-moi les oreilles : je t’entendrai encore

Sans pieds, je marcherai vers toi

Sans bouche,  je t’invoquerai encore

Coupe-moi les bras : je te saisirai

Avec mon cœur comme avec une main

Arrache-moi le cœur et mon cerveau battra

Et si tu mets aussi le feu à mon cerveau

Je te porterai dans mon sang.

 

 

Rainer Maria Rilke

 

 

 

 


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20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 11:35

 

 

 

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C’est le moment de l'éveil ordinaire.

Cela signifie : vous.

Pas ceux qui sont nés sous les étoiles les plus brillantes, mais une personne ordinaire tout autant.

 

 

 

This is a time of the ordinary awakening. This means you. Not those born under the brightest stars, but the ordinary person as well.


Gangaji

 

 

 


 

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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 12:59

 

 

Voici un petit conte qui nous enseigne que quelle que soit notre tâche, c’est en trouvant le sens de ce que l’on fait que nous pourrons la rendre légère.

 

 

 

MT

 

 

 

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Un pèlerin, un soir d'été, parvint sur un chantier de village peuplé d'ouvriers poussiéreux occupés à mille besognes de bois lourd, de forges sonnantes, de meules et de pierres taillées. Il fit halte au bord de la route où des hommes au torse luisant fracassaient à grands coups de masse, çà et là, des quartiers de rocs. L'un deux semblait exténué.

 

- Dur labeur, dit le pèlerin.

 

- Epuisant, lui répondit l'autre, abrutissant et sans espoir. De l'aube au soir, casser des pierres, est-ce une vie ? Non, c'est l'enfer. Vivement la mort, que je dorme !

 

Un compagnon, à quelques pas, essuya son front ruisselant. Le pèlerin lui vint devant.

 

- Votre misère me fait peine, lui dit-il. Je m'en souviendrai. Sur le tombeau du bon Saint Jacques je prierai pour vous, c'est promis.

 

Le gars désigna l'épuisé.

 

- Priez surtout pour ce pauvre homme. Moi, grâce à Dieu, je tiens le coup. C'est que j'ai trois enfants petits et une femme qui s'escrime à les élever comme il faut. J'ai besoin de forces. Ils m'en donnent. Si je trime ainsi, c'est pour eux.

 

A l'écart parmi les cailloux, les geignements, les coups de masse, naquit soudain une chanson.

 

- Voilà le fou qui se réveille, dit le jeune père, en riant.

 

Le pèlerin tourna la tête et découvrit un grand luron apparemment infatigable. Il cognait d'un coeur si vaillant qu'il faisait voler des éclats jusque dans ses cheveux frisés.

 

- Quel entrain ! dit le pèlerin. Il me semble pourtant malingre. Où puise-t-il donc sa vigueur ?

 

- Je n'en sais rien, répondit l'autre. Allez lui poser la question

 

Dix pas plus loin :

 

- Holà, bonhomme, calme-toi, tu vas t'effondrer !

 

- Je sais bien ce que vous pensez, répondit le joyeux gaillard. Que je suis idiot. Peu m'importe. Je casse des cailloux, c'est vrai. C'est fatigant. C'est mal payé. Mais ma force est là, dans l'étoile que je me suis plantée au front. Je ne suis pas un simple esclave.

 

Et cognant son torse du poing :

 

- Je bâtis une ville, moi !

 

 

Henri Gougaud, Le livre des chemins

 

 


 

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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 20:32

 

 

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Regarde comme ils grandissent l’un vers l’autre :

Dans leurs veines tout devient esprit.

Leurs corps tremblent comme des axes

Autour desquels tournent chaleur et ardeur.

Des assoiffés, et on leur donne à boire,

 

Ouvre les yeux et regarde : on leur donne à voir.

Laisse-les sombrer l’un dans l’autre,

Pour se dépasser l’un l’autre.

 

Rainer Maria Rilke

 

 

 

 

 


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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 21:10

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Illustration Zhuangyme Xiao

 

 


Dans les profondeurs de mon être,

vit tout un peuple :

sensations, émotions, pensées,

multiples aspects du Vivant qui me traverse,

ils sont tous là, s'animant d'instant en instant,

au gré du courant de la Vie...

 

Certains d'entre eux estiment

que d'autres n'ont pas leur place là,

qu'ils devraient être exilés,

voire même disparaître

pour le salut de mon être :

ils croient que pour découvrir et vivre

"la nature véritable de mon Etre"

certains aspects doivent être annihilés,

purement et simplement.

 

Lorsque je les vois ainsi s'évertuer,

c'est avec tendresse que je les accueille :

je leur ouvre largement les bras et,

en leur souriant, je leur rappelle avec douceur

que "ma nature véritable" est celle de la Vie même,

incluant tout ce qui est,

tout ce qui me traverse,

tout ce qui vit en moi...

 

 

Je leur répète, encore et encore,

avec la patience d'une maman

pour un tout-petit qui ne comprend pas bien,

que l'Unité se vit par l'inclusion de tout ce qui est,

jamais par l'exclusion d'un de ses aspects...

Je les invite à accueillir ce qui les stimule

dans chacun des aspects qu'ils rejettent,

plutôt qu'à croire que leur rejet est la solution...

 

Peu à peu, je les vois se détendre,

se sourire entre eux,

d'abord un peu timidement,

puis de plus en plus ouvertement :

une main se tend, une autre la prend,

des regards s'échangent, des sourires se répondent...

 

Lentement, pas à pas,

je vois s'unifier mon peuple intérieur,

je goûte le miracle de voir se tendresser

mon peuple bien-aimé...

 

 

Isabelle Padovani

 

 

www.communification.eu

 


 

 

 

 


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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 18:57

 

Voici une très belle interview de Meena Compagnon, sur la souffrance, la résilience, le pardon, l’amour inconditionnel, la joie et la paix.

 

A la suite d’une épreuve terrible qu’elle aurait pu vivre comme insurmontable, Meena Compagnon témoigne ici de cette force qui se trouve en chacun de nous et qui, au-delà des événements, peut nous aider à tout transformer, vers la joie et le sens aigu de la préciosité de la vie.

 

Si personne ne peut faire l’économie de guérir sa souffrance, chacun peut au jour le jour faire des choix pour retrouver son autonomie, principalement affective. En travaillant à cette autonomie, nous nous autorisons à combler nous-mêmes nos besoins (au lieu d’attendre qu’ils soient comblés par les autres et leur en vouloir de ne pas y parvenir) et à retrouver notre nature profonde qui est la Joie et qui permet d’avancer le cœur ouvert.

 

Meena nous invite ici sur un chemin d’introspection, de conscience et de douceur envers nous-mêmes, conditions essentielles pour incarner la paix dans le monde.

 

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

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Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...
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Auteur - Photographe

Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

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