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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 19:01

 

 

Voici une vidéo qui remue et interroge.

Que regardons-nous dans notre vie quotidienne ?

Qui regardons-nous et qui voyons-nous dans la foule des villes ?

Voyons-nous les Etres derrière leur détresse, leur masque, leurs oripeaux, leurs différences ?

Ou bien notre regard permet-il qu’ils deviennent transparents, invisibles à nos yeux et nos cœurs ?

Notre coupure avec la détresse des vivants fait de nous des infirmes, marchant le front haut, et pourtant….

 

MT

 

 

 

 

Une association américaine oeuvrant pour améliorer les conditions des personnes vivant dans la rue a fait vivre une expérience très forte à 5 personnes pour les sensibiliser à l’indifférence subie au quotidien par les SDF.

 

 

Veronika, Shaunya, Tom, Evan et Alison adorent leur famille. Et pourtant, ils ont totalement ignoré certains membres alors qu’ils étaient dans la détresse. Oh, pas consciemment, évidemment, mais de la même manière dont nous ignorons au quotidien les sans-abri se trouvant dans les rues que nous empruntons, même si nous avons du mal à l’admettre. Quoi qu’on en dise, c’est à peine si nous les regardons, même s’ils sont nombreux. Et tout comme ces 5 personnes, nous serions bien incapables de dire exactement à quoi ils ressemblent. Serions-nous plus attentifs s’il s’agissait d’êtres qui nous sont chers ? Malheureusement non…

 

Pour véritablement connaître le degré d’indifférence dont nous faisons preuve, l'organisation New York Rescue Mission, créer 1872 et fournissant aux sans-abris de la Grosse Pomme des vêtements, de la nourriture et de l’espoir, a mis à l’épreuve ces 5 cobayes en caméras cachée. Alors que certains de leurs proches, ceux qu’ils disent aimer plus que tout, s’étaient mis dans la peau de SDF et s’étaient postés au beau milieu du chemin que devait prendre les piégés, ces derniers sont passés, sans même les reconnaître, sans même les voir.

 

http://www.aufeminin.com/news-societe/et-si-vos-proches-etaient-sdf-la-video-choc-de-sensibilisation-s405330.html 

 

version doublée en français :

http://www.ohmymag.com/sdf/ces-personnes-se-sont-mises-dans-la-peau-de-sdf-et-voila-ce-qui-se-passe-quand-leurs-proches-passent-a-cote-d-039-eux_art79507.html

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 22:28

 

Voici un extrait de la conférence donnée par Arouna au congrès Quantique Planète de Reims en 2012.

 

Comment la physique quantique nous aide-t-elle à devenir co-créateurs de notre destin relationnel, à participer en conscience à notre devenir amoureux, à transformer notre destin en quête initiatique.

 

A la croisée des chemins entre philosophie, psychanalyse, spiritualité et physique quantique, la Voie de l'amoureux -- éthique et art de la relation -, un concept élaboré par Arouna Lipschitz propose une approche interdisciplinaire de la relation.

 

 

 

 

 

 

 

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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 14:56

 

Ce passage fait référence à une époque sombre du Canada et de la colonisation où les pensionnats pour les Indiens ont été le lieu de maltraitances, de viols et de « lavage de cerveau », pour les sortir de leur état de « petits sauvages » avec leur « sale langue ».

Partout dans le monde, nous avons à rougir des violences faites aux autochtones ou à des minorités.

Mon cœur saigne vraiment de ces atrocités perpétrées depuis si longtemps sur la terre, et je demande pardon, pardon, pardon...

Pourquoi demander pardon lorsque nous n’avons « rien fait » me direz-vous ?

C’est mon cœur qui me le dit.

Et la tête peut vous fournir ces quelques explications :

Au nom de ce que je nomme la co-responsabilité : ne serait-ce que par nos ancêtres qui ont fait cela et qui eux n’ont pas demandé pardon, ne serait-ce que par les valeurs (ou justement l’absence de valeurs) qui ont permis cela et dont nous pouvons avoir encore une trace à l’intérieur de nous-mêmes (à chaque fois que nous émettons un jugement envers un Frère, une Sœur, au nom de sa race, sa couleur, ses pensées, sa religion, etc.), au nom de toutes nos petites bassesses, nos manques de courage, nos aveuglements, nos dénis, nos illusions, notre esprit de compétition, notre ego orgueilleux, notre besoin de domination, toutes ces parties non éclairées de nous qui peuvent encore nous traverser, à des doses aussi petites soient-elles, et permettent à l'ombre de s'immiscer, pardon...

 

Chacun, nous devons traverser nos ombres, oser voir l’inacceptable et prendre la responsabilité de guérir.

 

T8aminik a vaincu son dragon par la force du pardon.

 

 

 

MT

 

Helen_Nelson-Reed_13.jpg

Illustration Helena Nelson Reed

 

 

 

(…) comprenez que tant qu’une blessure n’est pas rouverte, elle ne peut être nettoyée et continue de s’infecter.

 

Nous devons tous avoir le courage de déterrer ce triste épisode de notre passé afin de nous réconcilier véritablement et de passer à une autre étape de notre vie commune.

 

L’humain qui a peur de vivre ses émotions est un être en cage. Peu importe nos blessures, la pire chose que nous puissions faire est de tenter d’oublier, sans crier ou sans pleurer.

 

D’innombrables cris et larmes sont sortis de mon corps pour permettre ma guérison.

 

La cicatrice est toujours présente et peut se réveiller de temps à autre, mais j’ai réussi à accepter l’inacceptable et à pardonner l’impardonnable.

 

 

T8aminik Rankin, On nous appelait les Sauvages, co-écrit avec Marie-Josée Tardif aux Editions Le jour

 

 

 

 


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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 22:10

 

Le Dr Leonard Laskow nous partage sa vision de la guérison, une guérison totale à travers l'amour.

Ce qu'il entend par "amour", c'est la conscience de cette vérité que tout est unifié, que tout est connecté.

Il évoque aussi la puissance des croyances et les recherches qu'il a menées sur des organismes unicellulaires, choisis justement parce qu'ils n'ont pas de système de croyances, pour comprendre les interactions qui se jouent avec ces bactéries.

Au niveau de la conscience.... tout est Un, nous dit-il...

 

MT

 

 

 

 

 

 

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 06:43

 

 

 

Voici une courte video sur l’empathie, qui permettra non seulement de remettre les pendules à l’heure concernant la définition de l’empathie, mais permettra aussi de valider beaucoup d’entre nous qui sommes parfois troublés lorsque nous recevons ce que l’autre affirme être de l’empathie, alors que profondément nous ne nous sentons pas accueillis et rejoints dans ce que nous vivons ou partageons.

 

L’empathie est la capacité à mesurer ce que l’autre traverse, et non un bon conseil qui vise à le faire sortir de ce qu’il traverse…

 

Ouf… ça ouvre des portes n’est-ce pas ? et ça relaxe de comprendre pourquoi si souvent on a le sentiment de ne pas être entendu, sans pouvoir invalider le comportement à priori bienveillant d’autrui.

 

La plupart de nos comportements qui visent à être empathiques, ne sont en fait qu’une incapacité à juste accueillir ce qui est là.

 

Nous avons à permettre que quelque chose en nous s’efface suffisamment pour donner toute la place et la mesure de ce que l’autre nous confie, sans manipuler son ressenti, sans tenter de l’emmener déjà dans un espace où il ne peut pas être, puisque qu’il est juste là, ici et maintenant, dans l’instant du partage de sa souffrance.

 

L’empathie, c’est être un avec l’autre (et avec soi !), avec suffisamment de distance pour ne pas s’identifier à ce qui le traverse.

 

 

MT

 

 

 

 

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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 21:13

 

 

 

Lors de ma première naissance, je n'étais pas là. Mon corps est venu au monde le 26 juillet 1937 à Bordeaux. On me l'a dit. Je suis bien obligé d'y croire puisque je n'en ai aucun souvenir. Ma seconde naissance, elle, est en pleine mémoire. Une nuit, j'ai été arrêté par des hommes armés qui entouraient mon lit. Ils venaient me chercher pour me mettre à mort. Mon histoire est née cette nuit-là.

 

Boris Cyrulnik, extrait de Sauve toi la vie t’appelle

 

 

 

 

 

 

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 00:03

 

« Pour choisir l’amour vous devez être conscient, vous devez être présent, vous devez être dans l’instant ».

C’est un choix dans nos actions et nos pensées pour ne pas tomber dans le dénigrement.

C’est observer et vérifier à chaque instant : ce que je fais, ça marche ou ça ne marche pas ? Si ça ne marche pas… arrêtons de trébucher sur nos habitudes !  

Michael Roads nous invite ici à quitter « la maternelle » et ses violences, pour être en amour avec nous-mêmes.

 

MT

 

 

 

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 23:38

 

 

Voici un texte qui remet du baume au coeur.

Sur ce chemin vers la "maîtrise", "l'éveil", ou l'amour, quel que soit le nom qu'on lui donne, chacun tombe et se relève.

Enfin... parfois on croit que l'on ne va jamais se relever.

C'est pourquoi les paroles d'encouragement font toujours du bien.... ;-) 

 

MT  

 

 

 

Il est long le chemin de l’éveil!

 

Depuis 2002, année que j’ai amorcé mon parcours vers la maîtrise, je suis tombée à maintes reprises. Et j’ai vu mes partenaires d’évolution spirituelle tomber aussi. Avec courage, on s’est relevé. Parce qu’il faut le dire, cela prend du courage. Et une foi inébranlable que j’admets ne pas avoir toujours nourrie. J’ai connu de nombreuses crises de foi. À chaque peine d’amour, chaque trahison, chaque abandon, j’ai perdu la foi. Je me disais que tout ce beau discours de reprise de pouvoir autour du concept qu’on est tous des dieux descendus sur la Terre pour apprendre à mieux aimer était bien noble, mais que dans les faits, la souffrance prenait souvent le dessus sur notre supposée divinité.

 

Puis, j’ai vécu un premier shift de conscience en 2010. L’impression de sortir de ma coquille et de prendre mon envol. Certes, le temps consacré à déployer mes ailes, les faire sécher et apprendre à voler a connu son lot d’incertitude, mais la joie de me lancer dans le vide a été aussi grisante qu’un saut en bungee. Cette période correspond à ma décision de délaisser mon métier d’animatrice et de journaliste télé pour enseigner en conférences et en ateliers le fruit de mes recherches et expériences sur l’élévation de la conscience. Pendant un an, je me sentais invincible. Tel l’aigle qui plane en maître et seigneur dans le ciel, je n’entrevoyais même pas la possibilité de retomber un jour, surtout pas au point de ramper au sol comme une chenille. Et pourtant, c’est précisément ce qui s’est produit en mars 2011. Une pensée désalignée, une fausse croyance, un scénario inventé de toute pièce par mon ego surprotecteur m’a propulsée de nouveau dans mes vieilles blessures de trahison et d’abandon, et voilà que je ne pouvais plus éviter la chute (Lire C’est quoi l’amour? à ce sujet). Le tapis se dérobait sous mes pieds sans que je ne puisse le retenir, même avec toute la bonne volonté du monde. Je me suis vue tomber au ralenti sans pouvoir appuyer sur pause, ou mieux, sur rewind pour revenir à mon état de grâce des mois précédents.

 

Il m’a fallu revenir à moi et apprendre à m’aimer inconditionnellement pour remonter la pente. J’ai découvert dans cet effondrement de toutes mes structures le cadeau du véritable Amour de Soi. Pas l’amour de mon personnage qui est apprécié de mon entourage quand je fais ce qu’on attend de moi, pas l’amour de mes réalisations professionnelles ou personnelles, pas l’amour dans le regard des autres. L’Amour dans la reconnaissance de tout ce que Je Suis. J’ai commencé à l’automne 2011 à voir la lumière en moi, processus qui est toujours en cours d’ailleurs. Parce qu’on commence par la voir dans les changements qu’elle crée en nous et autour de nous. Pour ma part, cette lumière brillant comme un soleil levant m’a attiré des nouveaux acteurs dans ma pièce de théâtre, simplement parce qu’ils pouvaient enfin me voir. Je les aurais rencontrés avant qu’ils ne m’auraient même pas remarquée tellement j’avais mis cette lumière en veilleuse. On entend souvent que sur un chemin d’éveil, il y a du ménage à faire dans nos relations, parce qu’on s’élève en fréquence et qu’on ne trouve plus de résonnance avec plusieurs personnes qui nous entourent. Je l’interprète autrement. Je n’ai pas eu à écarter qui que ce soit, j’ai seulement été attirée par d’autres relations plus en concordance avec ma nouvelle fréquence vibratoire. Je n’ai pas tout changé non plus. Certains de mes vieux amis et des membres de ma famille se sont élevés en même temps, ce qui a grandement renforcé nos liens.

 

En ce printemps 2014, après avoir trébuché sur différents cailloux placés stratégiquement par mon grand Soi sur la route de mon ascension, je viens de compléter un second shift de conscience. Chaque fois que j’ai perdu pied, j’ai regardé dans le ciel pour savoir qui m’avait poussée. Chaque fois, j’ai vu un masque de mon personnage tomber devant moi. Puis, je me suis relevée. Parce que je sais maintenant que chaque chute nous fait rebondir un peu plus haut. La chenille finit par devenir papillon!

 

Aujourd’hui, j’ai la nette impression d’avoir été propulsée hors du bocal dans lequel je tournais en rond depuis des millénaires. De mon nouveau point de d’observation, il n’y a plus de jugement, plus de comparaison, plus de performance. Il n’y a que la compassion de regarder dans le bocal et de comprendre le chemin parcouru, sans regret ni nostalgie. Je sais que la suite peut entrainer des moments de solitude et de perte de repères. Mais il arrive un temps qu’on n’a plus envie de regarder en arrière, parce que la lumière qu’on a reconnue en soi au début du parcours brille si fort devant qu’elle nous attire comme un aimant. Et dans le mot aimant, il y a le verbe AIMER, la raison pour laquelle on a choisi cette expérience au départ.

 

Il y aura d’autres obstacles sur le sentier, d’autres hésitations, d’autres chutes. L’évolution est sans fin. Et chaque fois, j’aurai encore envie de me relever pour reprendre mon vol de retour vers la Maison, parce qu’on m’y attend… et vous aussi!

 

Bonne envolée tout le monde!

 

France Gauthier

http://www.francegauthier.ca/le-droit-de-tomber-la-joie-de-se-relever/

 

 

 

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 23:16

 

 

désir besoin rogné

 

 

 

L’amour, cela s’apprend.

 

Etre amoureux ne suffit pas, pas plus que les hormones ou les battements de cils.

Alors, comment fait-on ?

 

On écoute Arouna dans cette interview de Lilou, et on court acheter le livre « 52 clés pour vivre l’amour ».

 

D’abord parce qu’il y a des clés indispensables pour mettre de l’ordre dans sa tête et ses amours et parce qu’il est superbement illustré par les calligraphies de Luc Templier.

 

Par exemple à la page « Ne pas se tromper d’amour », on réfléchira à la différence entre désir et besoin.

 

Avec une clé :

 

Quitte ton père et ta mère

Si tu ne veux pas passer ta vie

A te tromper d’amour

A te trahir  toi-même.

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 21:06

 

Annie Laforest pose à Eric Pearl cette question lors de l’interview :

 

 

Est-ce que la maladie est réellement nécessaire dans la vie des êtres humains ?

 

 

 

Eric Pearl :

 

 

 

Nous choisissons notre manière de tirer des leçons, notre manière d’apprendre ;

 

il y a des gens qui ont besoin d’une maladie pour donner de l’amour, d’autres pour obtenir de l’amour ;

 

il y a des gens qui contractent une maladie afin de tirer des leçons personnelles, d’autres sont peut-être malades dans leur vie terrestre pour faire le don de leçons à leurs proches ;

 

 

 

Nous ne comprenons pas l’esprit de Dieu.

 

 

 

 

 

 


 

 


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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 20:12

 

Gregg Braden évoque ici ses recherches scientifiques et un aspect méconnu dont il a reçu l'enseignement auprès des peuples anciens.

 


 

 

 

 

 

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 10:55

 

 

 

Voici une réponse claire et concise pour savoir faire la différence entre nos actions liées à la survie ou en lien avec notre élan de vie.

 

Reconnaître ce qui est l’essence même de la vie et ce qui est cette essence de vie traduite par le conditionnement de survie.

 

Clarifier aussi préférence et dépendance, les jeux d’identification, faire la différence « entre la beauté de la vie qui agit en moi et comment je peux discerner quand je suis agi par mes conditionnements ».

 

Des repères précis :

 

La survie : tension, peur, exigence, agitation, souffrance…

 

La vie : pas d’urgence, joie, détente, paix avec ce qui est, en lien avec ce qu’Isabelle Padovani appelle « le père et moi ne faisons qu’un », qui passe par une sensation corporelle, une attention de chaque instant face à ce qui nous traverse afin de remettre la distance et le discernement nécessaires vis-à-vis de l’identification à notre enfant Moi.

 

 

 

MT


 

 

 

 

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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 18:45

 

 

 

Je vous invite à écouter cette conférence, issue du Congrès Science et Conscience à Toulouse en mai 2012.

 

Il vous faudra réserver un peu de temps, elle dure 1h30, mais c’est un cadeau d’avoir son intégralité et de pouvoir écouter les deux merveilleuses personnes qui interviennent : Neal Donald Wash et Barbara Marx Hubbard.

 

Pour avoir assisté à ce congrès, je peux vous dire que la trace de leur enthousiasme et de leur vision est puissante.

 

Neal Donald Walsh, auteur de « Conversations avec Dieu » ;

 

Barbara Marx Hubbard, une « jeune » Dame de 85 ans, dont la vie est retracée dans « la Mère de l’invention » écrit par N.D. Walsh, à partir d’une expansion de conscience faite il y a plus de 40 années et qui bouleversa sa vie et d’où tout a démarré.

 

« Cela s’est passé il y a quarante ans. Cette expérience a créé en moi l’impulsion de découvrir si cette possibilité est bien réelle. Nous savons que, sans vision, nous mourrons. Nous savons aussi qu’avec une vision nous nous épanouissons, nous grandissons, car elle nous attire. J’ai donc entrepris des recherches : que savons-nous qui rendrait possible notre interconnexion en un seul corps pour que nous naissions à notre prochain stade d’évolution? » BMH

 

 

Tous deux nous évoquent ici leur vision de l’humanité, à savoir que nous sommes tous engagés dans le même processus : celui de la naissance de notre espèce dans sa dimension universelle.

 

« Notre histoire est la naissance d’une nouvelle humanité. Nous sommes tous des membres d’un seul corps planétaire vivant, la progéniture d’une vaste intelligence cosmique, prédestinés à explorer les secteurs lointains de notre univers infini. » BMH

 

 

« La question n’est pas de savoir quel rôle vous allez jouer, mais si vous allez jouer un rôle. »


« (...) nous croyons que vous n’est pas venus ici seulement pour nous écouter, mais que votre venue ici est votre décision de faire entendre votre voix partout, chez vous, dans vos maisons, dans vos communautés, partout où il y a des décisions à prendre  (…) tous les endroits où il y a des décisions qui concernent demain. » NDW

 

Ma question est : « Est-ce que vous pensez que nous sommes suffisamment nombreux pour nous connecter en esprit, en amour, en conscience et en action ? » BMH

 

 

Le dieu en vous s’éveille et il veut créer….

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 17:43

 

 

 

Voici une interview de France Gauthier fort intéressante que j’apprécie pour sa légèreté autant que sa profondeur, pour son humour et la distance acquise face aux expériences intégrées.

 

Tout d’abord parce que le journaliste qui l’interview est charmant dans sa façon de l’interroger -entre incrédulité et curiosité accueillante- sur des sujets un peu borderline pour la télé : l’énergie, la Source, le karma, les flammes jumelles, les guides, la canalisation et tout ça et tout ça…

 

 

Aussi parce que France Gauthier fait partie de ces personnes qui ont la capacité, la volonté et le courage d’exprimer en public les transformations de leur vie, fussent-elles risquées pour son image professionnelle. (voir aussi cette autre interview par Lilou « je suis Dieu et vous aussi » : http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/article-je-suis-dieu-et-vous-aussi---france-gauthier-120380885.html)

 

 

Ensuite, parce que tout au long de son discours, -accrochez-vous avec l’accent canadien- elle égraine des petites phrases à retenir comme :

 

« Le corps émotionnel impacte le corps physique et c’est ainsi que l’on tombe malade ; quand tu guéris ton corps émotionnel, tu guéris tes blessures et ton corps physique se guérit aussi ; »

 

« Les hypersensibles se rendent malades plus rapidement, pour se guérir plus vite. »

 

« Nous sommes tous des enfants blessés dans un corps d’adulte. »

 

« Un partenaire amoureux nous est parfois envoyé pour prendre conscience de toutes les blessures qui n’ont pas été guéries. »

 

« Devenir un maître, c’est s’affranchir de la compétition, de la comparaison, du jugement, de la critique, c’est sortir de l’océan des émotions pour ne plus être esclave de ses émotions, c’est quelqu’un qui vit dans la joie. »

 

« La Source, il faut voir ça comme une grosse boule d’énergie d’amour et de conscience au centre de l’univers et nous sommes tous l’expression d’un de ces rayons-là, nous sommes des êtres multidimensionnels et nous vivons simultanément des expériences dans toutes ces dimensions là jusqu’à la Source. »

 

« Et lorsque je me branche sur mes guides, c’est sur la partie de moi qui vit ces expériences que je me branche, c’est moi qui vis ces expériences-là dans d’autres dimensions plus fluides. »

 

« Quand un être se guérit quelque part, au même moment dans l’univers un autre se guérit et lui est envoyé. »

 

 

N’est-ce pas plein d’espoir de l’écouter parler de cette intelligence de l’univers ?

 

 

Ce qui est important de retenir surtout, c’est cette notion de lâcher-prise sans laquelle le nouveau qui nous attend a du mal à descendre, à s’incarner sur notre chemin.

 

 

« J’ai arrêté de me battre » dit France Gauthier.

 

 

Il ne s’agit pas d’être « plus » quelque chose, de faire « plus » autre chose, ou « moins » d’ailleurs, mais bien de lâcher les résistances, de lâcher la pédale du frein (sur laquelle notre pied appuie si fort que nous perdons une masse d’énergie assez significative…), pour que ce qui EST en nous puisse émerger, non pas d’un ailleurs hypothétique, d’un extérieur à conquérir, mais bien de notre Etre, dans l’ici et maintenant, au cœur de notre Nature qui est ce qu’elle est, de toute éternité.

 

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 22:35

 

 

 

Comment savoir ce que vit une personne à travers la maladie ?

 

Comment savoir ce qui se passe de l'autre côté du miroir?  

 

Lorsque nous sommes bien portants, il est très difficile de se rendre compte de ce que traversent les personnes. Tout comme il est difficile de mesurer l’impact que peuvent avoir une maladie, la perte d’un être cher, une atteinte corporelle, un handicap, etc.

 

Ici, dans cette petite vidéo, plusieurs femmes vont faire une chose étonnante par solidarité avec leur amie atteinte d’un cancer du sein et qui a perdu ses cheveux par la chimiothérapie.

 

On voit dans leur regard, de façon subtile, la crainte qui les traverse l’espace d’un instant.  

 

On écoute cette femme qui dit : aujourd’hui je viens d’apprendre quelque chose, que les cheveux sont une partie de soi.

 

Dans la maladie, il y a beaucoup de pertes, et donc de deuils à faire.

Cela peut être les cheveux, un sein, un organe, la forme du corps, la puissance musculaire, la clarté intellectuelle, qui tous renvoient à l’intégrité de soi, cette façon de se sentir entier, non diminué.

 

Voici une façon inattendue de réfléchir à tous les aspects de cette intégrité corporelle et psychique, à laquelle nous sommes conviés chaque jour, dans notre rapport à nous-mêmes et dans les relations que nous avons avec les autres.

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

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