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12 novembre 2017 7 12 /11 /novembre /2017 11:16

 

 

 

Sonnette d'alarme, contre les pesticides, le mercure, les ondes électromagnétiques, qui deviennent source de graves perturbations.
 

Des constats et des études, qui font échos aux travaux du Dr Klinghardt, déjà cité ici.

 

 

 

 

 

 

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 20:40

 

 

Bonne nouvelle, il existe une nouvelle façon de diagnostiquer : "le syndrome du post-it". Si vos symptômes ne tiennent pas dans un post-it, c'est à dire que vous avez plus de 5 symptômes, c'est que vous êtes "fou"... Comme les malades de Lyme ont environ une trentaine de symptômes, imaginez un peu la dose de folie qui les habitent...

 

Une conférence qui fait un état des lieux sur les tests, les guéguères entre les clans, pendant que les malades attendent d'être pris au sérieux et d'être traités correctement.
 

 


 

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7 novembre 2017 2 07 /11 /novembre /2017 22:46

 

Les chemtrails sont des traînées de particules répandues par des avions qui sillonnent le ciel, comme on peut le voir maintenant dans toutes les villes et tous les pays.

 

Evidemment, lorsque l'on parle de ce sujet, on devient potentiellement un "conspirationniste", mais hélas, de plus en plus d'articles, de vidéos et de détails révèlent ce phénomène sensé gérer le climat. 

 

Le Dr Klinghardt, est une référence dans le monde médical, j'ai commencé à connaître ses travaux par rapport à la maladie de Lyme, dont il s'occupe depuis plus de 15 ans. Il a fait des liens et confirmé que les personnes atteintes de Lyme étaient intoxiquées aux métaux lourds, mais il a aussi mis en évidence que les malades atteints de Parkinson, Alzheimer, SLA ou SEP, autisme, étaient infectés par la borrelia, une des bactéries qui caractérise la maladie de Lyme. 

 

Ici, son exposé est clair (et courageux !), car il parle sans langue de bois de ces épandages qui polluent de plus en plus le ciel, la planète et ses habitants.

 

Après les épandages, les valeurs d'aluminium constatées sont parfois 2000 fois plus élevées que la norme limite et peuvent aller jusqu'à 7000 fois plus.

 

Cela affecte les animaux, puisque le sol est contaminé, cela fait le lit d'infections, comme la maladie de Lyme et cela détruit les mitochondries, ces petites usines qui jouent un rôle primordial dans la respiration cellulaire et dans la production énergétique indispensable au déroulement des fonctions de la cellule.

 

Mais l'aluminium n'est pas le seul impliqué, on trouve aussi des métaux radio actifs, de l'uranium appauvri, des fibres microscopiques, et du glyphosate (qui détruit à peu près tout ce qu'il y a dans notre corps) pour les épandages agricoles...

 

 

"Si je voulais mettre l'humanité à genoux, alors je pulvériserais du glyphosate sur toute votre nourriture, je polluerais l'air avec de l'aluminium, et si ce n'est pas assez, j'ajouterais de l'aluminium à tous les vaccins, et de cette façon je serais capable de vous rendre tous débiles et de vous faire disparaître en deux ou trois générations. Ce dont j'aurais besoin pour parfaire tout cela, certaines fréquences électromagnétiques qui désactivent les enzymes qui éliminent ces toxines du corps. Ce sont précisément les ondes qui nous arrivent par les ondes des téléphones portables" Dr K.
 

 

Aujourd'hui des études montrent que le glyphosate (composant du Round Up, jusque là réservé à l'agriculture) est répandu dans des zones urbaines et modifie le matériel génétique des humains.
 

Malgré toutes les publications qui admettent le Round Up comme nocif, on peut le trouver partout, sans interdiction, et n'importe quelle personne en achète pour pulvériser dans son petit jardin. Dramatique ! 

 

Quand on s'interroge sur le sort des abeilles qui meurent, alors que toutes ces substances détraquent le système nerveux, il est assez aisé de comprendre les raisons, même si toute conséquence peut avoir des causes multifactorielles.

 

Mais vu que l'humain n'a plus les capacités de se désintoxiquer et qu'un nombre incalculable de molécules toxiques envahissent son environnement, il semble clair que les maladies chroniques ou de dégénérescence flambent de plus en plus, et cela risque de ne pas aller en s'améliorant.

 

Une course est engagée pour trouver les contre-poisons et des systèmes de guérison qui permettront de contrebalancer cet empoisonnement.

 

MT

 

 

 


 

 

 

Le docteur Dietrich Klinghardt, MD, PhD, est une sommité mondialement reconnue en médecine. Il est le fondateur de l'American Academy of Neural Therapy, le directeur médical de l'Institute of Neurobiology et le clinicien en chef au Comprehensive Medical Centre, tous situés à Bellevue dans l'état de Washington. Il est aussi le fondateur et le directeur de la Klinghardt Academy (Royaume-Uni), de l'Institute für Neurobiologie (Allemagne) et du CYNIK (Suisse).

En reconnaissance de son oeuvre, il a reçu le prix du médecin de l'année de la Global Foundation of Integrative Medicine en mai 2007.

 

 

 

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13 octobre 2017 5 13 /10 /octobre /2017 11:02

 

 

Humour - grinçant- pour dénoncer l'état des lieux quant à la prise ne charge de la maladie de Lyme, et l'errance médicale qui devient trop souvent le parcours d'enfer de nombreuses personnes.

Et au passage, petit conseil santé avec l'argile ;-)

 

 

 

 

 

Nous attendons la suite...

 

 

 

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12 octobre 2017 4 12 /10 /octobre /2017 20:29

 

 

Entretien avec Jean-Patrick BONNARDEL, Pharmacien homéopathe et phytothérapeute, spécialiste de l’argent colloïdal et autres colloïdes depuis plus de 30 ans. Nous avons pu l'interviewer lors des Académies de la Santé Naturelle à Aix-les-bains le 10/12 mars 2017.

 

 

 

 

Interview Du Docteur Joachim MUTTER - Konstanz, Avril 2017

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6 octobre 2017 5 06 /10 /octobre /2017 20:30

"Quand un médecin dit "vous n'avez pas de sérologie positive, je ne vous traite pas", pour moi c'est une faute médicale".  Pr P.

 

Le Pr Perronne demande : "Pourquoi vous ne prescrivez pas le Western Blot"?
Réponse : "parce qu'il y aurait trop de malades".

 

Sûr... vaut mieux se mettre la tête dans le sable...

 

 

 

 

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3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 16:01
Le clitoris - Et tout le monde s'en fout

 

 

Si la définition, l'anatomie, l'utilité du pénis, ont largement été étudiées à travers les âges, on ne peut pas en dire autant du clitoris, qui a été tantôt incontournable (on croyait qu'il participait à la création des bébés, alors comme ça c'est très important... et bien il fallait donc bien le stimuler et en prendre soin) et tantôt complètement oublié, honni, méprisé.

 

L'actualité nous fait souvent bondir quand on lit des cas d'excision pour des femmes d'aujourd'hui, que ce soit par tradition dans leur pays ou en France, même si ce n'est pas autorisé. Ces pratiques sont dénoncées comme barbares, ce qu'elles sont, mais surtout comme si elles appartenaient seulement à une catégorie de peuples ou de civilisations.

 

Mais on a largement oublié, voire même on ne dit jamais qu'il n'y a pas si longtemps, le clitoris était excisé en France et en Europe en réponse à des symptômes comme l'épilepsie, l'hystérie, la catalepsie, l'onanisme. (1)

 

Evidemment, faut-il rappeler que toutes les personnes qui, au fil des siècles, ont eu un avis sur le clitoris étaient des hommes, et que la médecine, qui se croyait scientifique, était emberlificotée dans les projections masculines et dans la vision autorisée ou non-autorisée de ce que doit être une femme, son plaisir et la reproduction.

 

La longue épopée historique de l'étude du clitoris, d'Hippocrate à nos jours, est jalonnée de noms de médecins exclusivement masculins, et bien sûr, il n'existait aucune passerelle pour aller demander l'avis des intéressées...

 

Imaginez la situation parfaitement opposée, où sous prétexte d'une gente féminine à la tête des sciences et du corps médical, le sexe des hommes aurait été décrit, sanctionné, catalogué, médicalisé, castré, uniquement en fonction des frustrations et des représentations inconscientes de ces dames... Il y aurait eu peut-être pas mal de dégâts, mais on se serait vite révolté, car couper le sexe des hommes aurait eu des conséquences sur la fabrication de nos descendants ! D'où peut-être la naissance de la notion du "sexe fort", car indispensable, à la reproduction ?

 

Pas étonnant donc, qu'à force de tant de déni et de mise à l'écart au niveau scientifique, le clitoris finisse par avoir des contours un peu troubles dans l'inconscient, dans la représentation psychique des femmes ou des hommes.

 

Pas étonnant non plus, que bon nombre d'activités étaient mal vues pour les femmes, comme l'équitation, la bicyclette, mon dieu, des fois que ça leur donne du plaisir. Il faut comprendre toutes les conséquences que cela a eu dans l'inconscient collectif sur la façon dont un corps de femme doit se vivre.

 

Bien que déjà parfaitement décrit en 1844 par le Dr Georg Ludwig Kobelt, anatomiste, la réactualisation de son anatomie en 1998, puis sa première échographie en 2008 (voir les travaux d'Odile Buisson), a permis de comprendre que vagin et clitoris sont intimement liés dans les stimulations, et que contrairement à ce que disait Freud, il n'y aurait pas d'un côté "les vaginales" et de l'autre, "les clitoridiennes", mais peut-être seulement des femmes qui sont plus ou moins bien stimulées par leurs partenaires (20 minutes de stimulation sont nécessaires pour que le clitoris soit en érection à son maximum), et qui par leur histoire peuvent plus ou moins facilement s'abandonner au plaisir.

 

« Le clitoris est le seul siège du sens et du spasme génésique chez la femme ». « Il n’existe pas de femme sans besoin, il n’existe pas de femme privée de sens, il n’en existe pas d’impuissante au spasme génésique. Mais, en revanche, il existe un nombre immense d’ignorants, d’égoïstes, de brutaux, qui ne se donnent pas la peine d’étudier l’instrument que Dieu leur a confié » dit Jules Guyot, médecin du Second Empire qui publia "Bréviaire de l'amour expérimental" en 1859.


La question de la représentation sexuelle est une question philosophique, politique et intime car elle interroge sur l'autonomie sexuelle de la femme et sa place dans la société et à côté de l'homme. Bien au-delà de l'anatomie, la sexualité reste un processus psychique dont les contours sont façonnés par l'héritage transgénérationnel et historique.

 

Pour que les choses puissent se concevoir psychiquement, il faut qu'il y ait le langage et la représentation non amputée des choses en question. Si chaque individu est responsable de sa capacité à transformer ses représentations, la société est aussi l'espace où ces représentations doivent changer en réhabilitant les zones que son inconscient a laissé dans l'ombre, par paresse intellectuelle ou scientifique.

 

 

 

MT

 

 

 

 

(1) La littérature médicale permet de recenser une bonne dizaine de médecins français y ayant eu recours. Les techniques employées varient : ligature, cautérisation, coup de bistouri, écraseur, section des nerfs. En France, elles n’ont jamais été banalisées et sont le plus souvent conçues comme la dernière solution après échec de toutes les autres tentatives (surveillance continue, bains froids, appareils de contention nocturnes, etc.)42. À deux reprises, des sociétés savantes en débattent (la Société de chirurgie en 1864 et la Société médico-psychiatrique en 1869). Sans conclure définitivement, les médecins répètent les mises en garde habituelles : la clitoridectomie ne peut être exercée qu’avec l’accord de la patiente ou de ses parents et si tous les autres moyens ont été employés sans succès précédemment. L’histoire médicale des États-Unis est sur ce point très similaire. Sarah Rodriguez y a recensé vingt-quatre publications sur le sujet entre 1867 et 191243. Selon son étude, la clitoridectomie n’est pratiquée qu’en dernier lieu, tandis que la circoncision du prépuce peut être utilisée pour résoudre une insensibilité. En revanche, au Royaume-Uni, le gynécologue Isaac Baker-Brown a mis cette opération en vogue à Londres, avant d’être exclu de la Société obstétricale de Londres en 186744. Cette mutilation cruelle qui compromet grandement l’avenir sexuel des petites filles démontre bien qu’aux yeux des médecins chirurgiens le gland du clitoris est le lieu du plaisir. Nul ne songe à cautériser au nitrate d’argent les parois vaginales. Il est vrai que cela pourrait compromettre le coït.

Sylvie Chaperon "Le trône des plaisirs et des voluptés : anatomie politique du clitoris"

 

 

 

 

 

 

 

Et j'adore le résumé de "Tout le monde s'en fout", qui sait si bien parler avec légèreté de sujets importants ...

 

 

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3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 13:27

 

 

 

Pour ceux qui n'ont pas écouté, ou pas eu le temps, la vidéo que j'avais postée ici, voici la transcription faite par Soleil Levant de l'interview donnée sur France Inter, ce qui permet de peser chaque mot et chaque argument concernant le sujet de l'obligation vaccinale.

 

 

Isabelle Adjani est l’icône française par excellence. Elle a reçu à cinq reprises le César de la meilleure actrice.
Elle a par ailleurs été nommée deux fois à l’Oscar. Aujourd’hui, à la vue de l’actualité brûlante, elle sort de son cadre artistique pour alerter l’opinion publique quant aux dangers liés à la vaccination imposée.
Elle s’oppose publiquement à la loi des onze vaccins qu’elle juge « criminelle ».
Soleil-Levant rend hommage à son courage et à sa détermination.

Je suis l’actualité, je m’en défends parfois mais je la suis.
Je la suis parce qu’on ne peut pas vivre, sauf si on fait un choix d’ermite, coupé du monde, des autres…
Même si je n’aime pas particulièrement la manière dont les évènements sont commentés, relayés….
Tout ce négativisme,  cette course vers l’effroi : sans catastrophisme pas d’auditeur.

Aujourd’hui sur la scène médiatique, les ministres et autres responsables, veulent-nous imposer de faire vacciner les enfants dès le plus jeune âge. Je fais référence, par exemple, au discours de politique générale de M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre, le 4 juillet.
Je le cite : « Des maladies que l’on croyait éradiquées se développent à nouveau sur notre territoire. Des enfants meurent de la rougeole  aujourd’hui en France. Dans la patrie de PASTEUR ce n’est pas admissible. L’an prochain, les vaccins pour la petite enfance, qui sont  unanimement recommandés par les autorités de santé, deviendront obligatoires. »
Se référer à PASTEUR comme l’a fait le premier ministre, est une bien mauvaise idée.
Il faudrait lire un livre « Pour en finir avec PASTEUR,  Un siècle de mystification scientifique » écrit par le Docteur Éric ANCELET où l’on va apprendre, ou découvrir, que PASTEUR n’est pas celui que l’on croit.
Je recommande par ailleurs fortement aux parents, un livre de Sylvie SIMON, journaliste médicale qui a fait preuve d’un remarquable  courage de résistante « Les vaccins, ce que l’on nous cache sur les effets indésirables ».

Le 1er ministre dit que la rougeole est un « danger absolu pour les enfants » ! Je vais lui répondre que, manque de chance, cette année, la  Suisse a connu sa première victime de rougeole depuis 2009, mais cette victime était vaccinée.
Il y a eu aussi cette épidémie d’oreillons à l’université d’Harvard l’année dernière : 99% des personnes infectées étaient vaccinées !
Même topo pour l’épidémie de coqueluche en 2014 !

Je suis aussi frappée d’entendre le Professeur Alain FISHER dire : « Il y a aujourd’hui onze vaccins recommandés pour les petits enfants,  correspondant à des protections contre des infections potentiellement mortelles. Coqueluches, méningites, hépatite virale, rougeoles, ces  vaccins sont efficaces.
La vaccination comme tout acte médical comporte des risques. Mais ceux-ci ont été évalués, la vaccination n’est pas récente, le vaccin contre  le tétanos, la diphtérie, ont été rendus obligatoires avant la guerre et les autres sont administrés depuis trente, quarante ans en France et  dans le monde entier.
Si bien que les risques sont extrêmement faibles et puis, il est vrai, pour certains vaccins des complications très rares. Au total, la balance entre les bénéfices considérables et les risques minimes explique que dans tous les pays du monde l’ensemble de ces vaccins sont fortement  recommandés, voire obligatoires pour l’ensemble de la population ».
Alain Fisher est le président du comité de vaccination, et il omet de préciser qu’il est en lien étroit avec le laboratoire Sanofi dont il a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, tout comme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé qui elle, était au conseil d’administration de  2009 à 2011 de deux laboratoires : Novartis et Bristol-Meyers Squibb, tous deux très impliqués dans la commercialisation des vaccins.

Je voudrais comprendre : comment des gens, qui ont un intérêt d’ordre financier dans ces décisions, peuvent intervenir comme des boucliers  humains qui protègent notre santé ?
Et puis, aussi, nous dire que la vaccination est obligatoire dans le monde entier ? Ah bon ? Etonnant ! En Allemagne, en Autriche, en Angleterre, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suisse, en Finlande, en Islande, au Luxembourg, en Norvège, en Suède, l’obligation vaccinale a été levée. C’est étonnant ça !
Alors oui, je sors de mon contexte artistique, et je vous parle comme une mère qui n’a pas fait vacciner ses enfants et qui le revendique. Depuis que j’ai découvert la grande démarche propagandiste de l’industrie pharmaceutique et des laboratoires pour ramener cet argent sur le  dos de la santé des gens.

J’ai mis en actes réels mes convictions.
D’ailleurs, mes enfants vont très bien, ils ont un suivi phytothérapeutique, homéopathique.
Mon jeune fils de vingt ans n’a jamais pris d’antibiotiques de sa vie.
Je ne suis pourtant pas radicale. Sachez que j’ai eu des parents qui ont été surmédicalisés, surtraités chimiquement et je peux dire qu’ils en sont à moitié morts. Disons qu’ils doivent 50% de leur déclin physiologique et biologique à la médecine allopathique. Moi-même j’ai été  traitée très tôt aux antibiotiques absolument sur-dosés et il m’a fallu des années pour me nettoyer de ça.

Et j’ai fait mon apprentissage  moi-même, je suis parfaitement autodidacte.
Certains peuvent prendre leurs aises, et me taxer d’ignorante ou nous prétendre ignorants.
Nous, c’est-à-dire ceux qui savent et qui militent comme moi, contre cette nouvelle loi.
Un nourrisson n’a pas son système immunitaire suffisamment développé pour pouvoir lutter contre l’inoculation de onze maladies.
Qu’est ce qu’un vaccin ? C’est une maladie qu’on vous inocule.
Comment va-t-il lutter contre ces onze maladies ?
Faire vacciner un nourrisson c’est une façon de détruire l’éclat biologique d’un être dès sa  naissance.
Il s’agit d’un mensonge scientifique qui joue sur la peur des gens.
J’ai décidé dans ce domaine de ne pas avoir peur.
Alain Fisher dit que cette position, la mienne ou celle des personnes qui se battent comme moi, est trop anxiogène.
Et dire cela, c’est une façon de fabriquer de l’angoisse, les gens ne peuvent pas être rassurés si ils ne savent pas.
Ils ne peuvent pas imaginer qu’on puisse leur mentir, et on n’a pas d’autre choix que de s’informer.

La responsabilité revient à chacun.
Moi j’ai pris cette responsabilité depuis longtemps.
J’ai fait faire des faux certificats de vaccination pour mes enfants, pour les écoles et tout ce qui administrativement m’obligeait.
L’aluminium est un toxique qui ne devrait pas exister comme adjuvent dans les vaccins, voir par exemple le témoignage du professeur Romain GHERARDI (à la fin de ce texte NDLR).
Cette vaccination massive et forcée est un crime contre l’humanité, qui probablement dans les vingt, trente, cinquante prochaines années se propagera à l’horizon. Et je dis cela en toute conscience. »

 Adaptation de l’émission « Le grand atelier » de France Inter
à voir sur www.soleil-levant.org

 

 

 

 

Pr Romain GHERARDI, neuropathologiste, témoigne :

« L’aluminium sous forme de petites particules, tel qu’il est utilisé dans les vaccins n’est pas éliminé rapidement par l’organisme, et ces particules qui sont destinées à stimuler le système immunitaire vont persister chez certains individus pendant de très nombreuses années à l’intérieur même du système immunitaire.
Et chez certains, une maladie se développe : fatigue chronique, douleurs musculaires chroniques

Je tire la sonnette d’alarme depuis très longtemps, c’est dangereux d’administrer toujours plus de vaccins contenant ces adjuvants à base de particules d’aluminium.
C’est un métal neurotoxique admis par tous, il n’y aucune discussion possible sur le sujet.
Ce qui était vrai, une tolérance quand on recevait deux, trois vaccins dans sa vie… ne sera plus vrai quand on en recevra 120…
"…

 

 

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2 octobre 2017 1 02 /10 /octobre /2017 21:33

 

 

La plupart des médecins continuent à tester la maladie de Lyme avec le test Elisa, qui est obsolète, imparfait, et presque toujours négatif pour la plupart des malades infectés.

 

Pourquoi une telle assiduité pour un test de plus en plus remis en cause et pourquoi tant de mépris pour d'autres tests faits dans d'autres pays (l'Allemagne par exemple) et dont les résultats reviennent positifs... mais sont alors déclarés "faux positifs"...?

 

L'obscurantisme à ce point... c'est tout de même interpellant..

 

D'un côté, les malades se voient ainsi confirmés dans leurs symptômes au-delà des frontières, et de l'autre ridiculisés en France où on leur dit : vous n'avez rien, circulez. Et en effet, ils sont remis "en circulation" sans être soignés, parfois avec des symptômes très invalidants, des souffrances qu'on juge mineures puisqu'on les traite au doliprane.

 

Les citoyens, alertés par les médias, commencent à connaitre la maladie de Lyme, sauf que la plupart du temps, ce qu'ils en retiennent, c'est que ça se soigne vite et bien. Toujours le sempiternel "trois semaines d'antibio, et hop, on gambade".

 

Et bien désolée, mais sur le terrain ce n'est pas comme cela que ça se passe.

 

Quand éventuellement les personnes reçoivent leurs antibiotiques pour un mois, qu'elles sont améliorées, mais que les symptômes reviennent ensuite, et bien là... plus personne pour prendre en charge la suite du traitement et oser continuer les antibiotiques, au risque d'être dans le collimateur de l'Ordre des médecins.

 

Et ça, c'est dans le "meilleur" des cas, quand un médecin vous a pris au sérieux. Sinon, liste de symptômes à l'appui ou tests positifs à l'appui, un nombre incalculable de patients se fait rejeter, mépriser par les hôpitaux, les médecins, avec des phrases et des sentences inhumaines. Il faut lire les témoignages sur les "réseaux sociaux" dans les groupes d'entraide, où les personnes racontent leurs déboires, ce ne sont pas des cas isolés et je n'insisterais jamais assez sur cette déplorable situation qui consiste à minimiser les symptômes des gens, en les faisant passer pour des dingues parce qu'ils se sont "auto-diagnostiqués" malades de Lyme.

 

Je me souviens d'une de mes consultations avec un médecin à qui j'avais envoyé et montré mes tests positifs de Lyme, quand je suis arrivée, il m'a dit : "vous n'avez pas d'infection madame. Ce n'est pas parce qu'il y a deux cas en France qu'il faut en faire tout un pataquès".

Et je suis sortie complètement démontée, effondrée de ce déni, de cette légèreté de la part d'une personne sensée soigner et donc avoir suffisamment de curiosité pour faire des investigations et au moins respecter le témoignage de souffrance qu'on lui présente.

 

Tout ceci pour dire que des situations de ce type, c'est tous les jours que les patients les rencontrent.

 

Donc oui, il y a urgence, urgence à avoir des tests fiables, urgence à ce que les médecins descendent de leur piédestal et commencent à avoir au moins un minimum d'empathie, au mieux des traitements à proposer sur le long terme.

 

La maladie de Lyme casse bien des codes : une grande partie des patients arrivent dans les cabinets des médecins en connaissant beaucoup de choses sur la maladie de Lyme, sur les tiques, les borrelies, et parfois ils en savent plus que le médecin. Rares sont les médecins qui acceptent de mettre leur orgueil en sourdine, qui admettent que le patient, par ses connaissances, son vécu interne, est un "collaborateur", plus qu'un patient soumis et passif.

 

La maladie de Lyme met le focus sur une médecine qui est en retard, tant dans sa façon de soigner que dans sa façon de concevoir le tandem médecin-malade. Si elle bouscule la vie des patients, elle vient aussi bousculer les vieux systèmes qui ont besoin d'être rénovés...

 

MT

 

 

 

 

 

 

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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 21:19

 

 

Lorsque je vois les mesures de précaution, extrêmes, que prend ce dentiste, ça me laisse plus que rêveuse sur l'extraction des amalgames dentaires que j'ai subie il y a plusieurs années, sans aucune protection et sans aucun protocole d'accompagnement... et dont j'ai peut-être payé, comme beaucoup, les conséquences, en me retrouvant en borréliose chronique, avec un système immunitaire débordé par ses nombreuses charges toxiniques à évacuer.

 

Entre les métaux lourds, les pesticides, les perturbateurs endocriniens, les vaccins, les additifs alimentaires, les OGM, les ondes électromagnétiques, la pollution, ... il va bien falloir admettre que le corps a des limites pour gérer et métaboliser tout cela et comprendre que les maladies chroniques de plus en plus nombreuses, ne sont pas le fruit du hasard. 

 

MT

 

 

 

 

 

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13 septembre 2017 3 13 /09 /septembre /2017 20:04

 

 

Comme malheureusement aucune obligation de recensement n'est faite pour la maladie de Lyme, peut-être que cette application mobile permettrait de connaître au plus juste le nombre de personnes atteintes (mais "mordues" ne veut pas dire "contaminées"... )  et de ne pas rester dans le flou comme c'est le cas - officiellement- pour le moment.

 

 

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6 septembre 2017 3 06 /09 /septembre /2017 21:41

 

 

La longue tradition de l'ayurvéda et sa sagesse pour une santé complète et holistique

 

 

 

 

 

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4 septembre 2017 1 04 /09 /septembre /2017 20:50

 

 

Version longue :

 

 

 

 

Et cinq livres sur les vaccins, dont 4 de Sylvie Simon, qui a tant travaillé sur le sujet :

 

 

 

 

 

 

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30 août 2017 3 30 /08 /août /2017 11:54

Retrouver le bon sens et faire confiance à la Nature et à sa propre nature...

Même si toutes les maladies peuvent se guérir, tous les malades ne sont pas guérissables... A noter la nuance, qui tient compte de l'histoire de chacun...

 

 

L'occasion de réécouter deux autres interviews :

 

 

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3 août 2017 4 03 /08 /août /2017 12:35

 

 

Des années de luttes pour défendre les p'tites graines et sauvegarder la diversité ! Merci de toute cette énergie et cette passion au service de la Vie. (1)

 

MT

 

 

(1) je rappelle que les graines aujourd'hui proposées aux agriculteurs sont stériles... mais elles sont officiellement répertoriées dans un catalogue officiel reconnu par d'officielles institutions......

 

 

 

 

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Présentation

  • : Le blog de lejour-et-lanuit.over-blog.com
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Auteur - Photographe

Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

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