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13 mars 2021 6 13 /03 /mars /2021 10:57

 

Un documentaire "la fabrique à mensonge" est sorti sur France 5, mettant gravement en cause Thierry Casasnovas, "dangereux gourou". La personne qui témoignait, n'avait jamais rencontré T. Casasnovas, se contentant d'écouter ses vidéos, parmi d'autres. Or cette jeune femme, s'est retrouvée instrumentalisée, et son histoire -parcours du combattant d'une malade chronique- s'est retrouvée transformée pour servir les attaques contre UNE personne, et sans que la parole contradictoire soit donnée pour expliquer ou se justifier.

 

On accuse beaucoup les personnes qui cherchent à se soigner par des méthodes alternatives, de devenir "des adeptes de gurus", d'être embrigadés avec des œillères, d'avoir une vision sectaire de la santé, etc.

 

Pourtant, beaucoup font la même chose avec la science et la médecine et personne n'y trouve rien à redire, malgré les scandales sanitaires qui se succèdent et les catastrophes planétaires que ces instances "officielles" nous concoctent.

 

Alors à une époque, où une partie de la médecine est complètement vérolée par des intérêts financiers et plus du tout en lien avec la vraie santé et le soin des gens... quel est le sens de ces documentaires qui se succèdent pour stigmatiser des personnes, dans des domaines différents, mais qui deviennent rapidement des boucs émissaires, des bêtes noires de la société, des gens à mettre au bûcher... ? Quel est le sens d'une émission qui fait croire que la vie d'une jeune femme s'est effondrée à cause d'un hygiéniste, alors qu'en ce moment même toute notre société s'écroule, financièrement, médicalement, socialement, psychologiquement?

 

Qu'est-ce qui fait qu'un tel sujet puisse apparaître comme central, alors qu'il serait surtout urgent de parler des gens qui se suicident, qui meurent de ne pas avoir été soignés correctement, des traitements qui sont évincés au profit d'autres qui rapportent le pactole aux laboratoires dominants, des citoyens qui se retrouvent ruinés, isolés, assaillis d'un discours de propagande non stop dans les médias, c'est à dire à peu près tous les éléments qui constituent la définition des sectes, de l'embrigadement et de la manipulation? La plus grande secte est sous nos yeux et nous baignons dedans tous les jours....


C'est probablement pourquoi les boucs émissaires sont nécessaires, pour éviter de regarder là où ça fait mal, là où sont les vrais responsables et pour dériver la responsabilité sur quelques individus qui servent de fusibles.

 

Quand on vous montre quelque chose ou quelqu'un du doigt, cherchez à qui appartient le doigt...

 

Mon propos ici n'est pas de défendre Thierry Casasnovas en particulier ou exclusivement. Je le soutiens bien sûr car j'ai horreur des mises au pilori et de l'information frelatée. 

 

Quand les gens qui le critiquent auront le 10ème de ses connaissances, de son engagement, de sa réflexion, qui en effet évolue avec le temps et les expériences, et cet élan de partager la santé pour tous... on pourra en reparler avec eux. On appelle souvent "guru", celui ou celle qui ose se mettre en lumière, avec toutes les conséquences que cela implique, et les critiques viennent souvent de personnes qui ne font rien, ou pas aussi bien. Etre avant-gardiste, on le sait, dérange. Je l'ai écouté pendant des années, avec mes connaissances de naturopathe, à l'écoute d'inepties éventuelles, et je n'ai pas été arrêtée par quelque chose de rédhibitoire et j'ai continué à apprendre grâce à lui.

 

Bien sûr qu'il a pu croire, dire ou laisser penser que ce qu'il proposait était une solution universelle.

 

Bien sûr qu'il témoigne quasi exclusivement du cru, c'est son expertise, son expérience.

 

Quand des gens font des vidéos sur l'hypnose, la méditation, les régimes protéinés, le yoga, tel problème psychologique, etc, ils font la même chose, ils ne parlent que d'une facette de la santé, que de leur expertise. Maintenant, si quelqu'un se met à croire qu'il ne pourra se soigner QUE en pratiquant exclusivement l'une de ces techniques, bien sûr que cela va avoir des conséquences. Les médecins, qui prescrivent des médicaments, savent très bien que certains de leurs patients se les procurent aussi hors ordonnances et continuent à s'automédiquer. Est-ce pour autant qu'on se retourne contre eux?


 

Contrairement aux gurus (qui se positionnent comme référence unique), Thierry Casasnovas s'entoure d'autres personnes qu'il interviewe et n'enferme personne... bref il ne faut pas confondre le message et le messager que chacun est libre d'apprécier ou pas.

 
Mais dans toutes les personnes qui font des vidéos en santé, développement personnel ou spirituel, dans tous les discours des médecins (et on a des perles en ce moment !), si on épluchait chaque parole... on trouverait des perles d'incohérence ou d'ineptie... suivant qu'on veuille aduler ou détruire.

 
De plus il faut savoir comment fonctionne internet, avec des chaines youtube ou des sites tenus exclusivement par des personnes (souvent anonymes, dans le sens où leur nom est un avatar, bravo le courage) qui ont pour vocation de contredire et détruire des personnes publiques ou des méthodes, d'inonder la toile de commentaires haineux et destructeurs. A force on finit par les repérer, mais c'est aussi une manipulation bien présente, qui induit en erreur les gens les plus peureux ou qui n'ont pas fait assez de recherches pour maitriser certains sujets. 
 
 
Et par ces mots, je le répète, je ne défends pas uniquement Thierry Casasnovas, mais l'injustice, la bêtise, l'acharnement douteux et cette façon de toujours jeter des personnes au bûcher... C'est un grave problème de société qui nous concerne tous, car il a pour conséquence de nous priver de nos libertés de se soigner, de penser, de s'indigner, et de restreindre toujours plus le champ des possibles.
 
Avant de stigmatiser, posons-nous les bonnes questions, informons-nous, dialoguons, rencontrons nos peurs, faisons du lien et allons vers plus de responsabilisation quant à nos choix, pensées, émotions.
 
 
 
MT
 
 
 
Le lien amène sur FB car la chaine de Thierry Casasnovas a été supprimée...
 
 
 
 
 
 
 
Deux intérêts à cet interview
 
1) une mise au point essentielle pour rétablir la vérité
 
2) un témoignage très intelligent et touchant de Constance sur son parcours médical, l'errance médicale de la maladie chronique, la dégringolade dans l'épuisement, le corps qui ne fonctionne plus, les solutions que l'on cherche par dizaine, sans voir d'amélioration...
 
J'ai l'impression d'avoir une alter ego dans la description de tout ce cheminement, errance, non écoute, solitude, douleur, désespoir qui fait frôler l'envie de mourir, ...le nombre des malades est grandissant aujourd'hui qui ne se sentent plus soutenus par un système médical dont certains médecins n'ont même plus assez d'empathie pour se dire que si il y a souffrance, c'est qu'il y a quelque chose à traiter et pour qui toute maladie devient un mensonge, quelque chose de suspect -qu'il faudrait régler au prozac-...
Qu'est-ce que c'est que ces médecins, ces thérapeutes, qui ont pour "vocation" le soin, mais ne veulent pas soigner les gens?
La maladie de Lyme -et à la limite peu importe son nom-, est un exemple de ce désastre de la prise en charge.
 
Cette jeune femme le dit : dès qu'elle a abordé le sujet de Lyme, elle a senti que c'était tabou...
Aujourd'hui, si vous parlez de cette maladie à des gens, ils vous répondent (après avoir vu le bla bla à la télé) : ah oui, mais ça se soigne bien maintenant.... Venez sur le terrain pour savoir réellement, écoutez les personnes en souffrance... vous verrez que les gens sont lâchés, qu'on les considère au mieux comme des hypocondriaques, au pire comme des affabulateurs...
 
A quel moment s'est opéré cette dérive? A quel moment le fait d'aller porter sa souffrance, ses symptômes auprès d'un spécialiste de la santé est devenu un écueil, un rejet, une voie sans issue?
Quand on voit ce qu'il se passe avec la "crise sanitaire" actuelle et comment on ne veut PAS soigner les gens, je me dis que la tendance s'aggrave grandement.
 
Et lorsque les gens veulent donc -et pour certains n'ont plus d'autre choix- se soigner par eux-mêmes pour tenter de remédier à leur souffrance, voilà qu'on les accuse de dérive, ainsi que les techniques qu'ils appliquent. Double contrainte majeure, où quel que soit le côté où l'on se tourne, on a droit au jugement du perdant...
Malgré cela, la plupart des personne souffrant de maladies chroniques continuent à chercher par eux-mêmes, à devenir autonome dans la façon de soigner, car une partie de la médecine a déserté.
 
Honneur donc, autant aux soignants qui continuent à soigner et qui commencent à faire de la médecine intégrative, qu'aux malades qui continuent à chercher et ne baissent pas les bras et bravo à cette jeune femme d'avoir le courage de remettre sa parole dans le sens originel de ce qu'elle voulait exprimer et de ce qu'elle avait traversé...
 
Interrogeons-nous profondément sur la stigmatisation de certaines personnes et leur mise au bûcher. Le temps des sorcières n'est pas terminé...
 
MT
 

 

 

Et pour comprendre où se trouve la vraie manipulation, regardez le documentaire, "La fabrique de l'ignorance"... qui contrebalance largement "La fabrique du mensonge"...

 

 

 
 
 
 
 
 
Le message de Thierry Cassasnovas suite à la diffusion de cette émission à charge contre lui.
 
Suite à la diffusion de la Fabrique du Mensonge sur France 5 par Benjamin Teil - avec l'intervention de Clément alias Krapo Dessin ancien dessinateur bénévole engagé pour Soral ou encore appelé l'Extracteur qui fait l'objet d'une plainte auprès du Procureur de la République, de Tristan Mendes France de Stop Hate Money qui a participé à intimider mes partenaires pour qu'ils m'abandonnent, de Rudy Reichstadt de Conspiracy Watch qui paye Google pour mettre en avant des annonces affirmant que je suis un charlatan toxique, ou encore de Thibaud Schepman qui a écrit des articles diffamatoires sur Rue89 en donnant la parole à Groupe Altra qui m'a escroqué, fait venir des hommes de mains chez moi et qui a été condamné à verser 300 000€ à l'association Regenere (mais qui a disparu dans la nature sans jamais payer en mettant la société en insolvabilité) -
Constance s'exprime sur l'instrumentalisation de son témoignage, sur les pressions autour d'elle pour la faire venir témoigner à Paris. Son ex-compagnon m'ayant signalé à la Miviludes car elle me regardait sur Youtube, et l'a même envoyé en HP selon ses dires. Constance a participé à cette émission car son ex-compagnon travaillait pour France 5 et a insisté avec son équipe pour qu'elle témoigne. On l'a incité à dire des choses particulièrement sur moi, ne sachant pas que cette émission était centrée uniquement sur moi. Ils ont passé une journée entière à la faire parler et reformuler devant la caméra, elle affirme qu'elle ne savait plus ce qu'elle disait à la fin. Elle pensait témoigner de tout son parcours d'errance médicale sur le thème des "dérives de la santé" et comment elle n'a pas eu d'autres choix que de chercher des solutions par elle-même sur le net, en tombant sur moi, mais pas seulement, puisqu'elle a étudié la naturopathie et pleins d'autres sujet (reiki, chamanisme etc.).
Non elle ne s'est pas isolée à cause de moi, non elle n'a pas perdu son travail, son copain et son argent à cause de moi, et non elle n'a pas perdu du poids à cause de moi - elle n'arrivait pas manger à cause de la douleur aux intestins - et elle a contacté le Centre Antidouleur pour les informer qu'elle était pas loin de faire une bêtise à cause de ses extrêmes douleurs, avant de faire une tentative de suicide par manque d'écoute et de prise en charge. D'ailleurs elle n'a jamais quitté le milieu médical et ne s'est pas autodiagnostiquée de la maladie de Lyme, puisque c'est un médecin ouvert aux approches naturelles et à la complémentarité des soins qui lui a diagnostiqué et qui l'a vraiment aidé quand elle se sentait délaissée par les autres praticiens. Comment aurait-on pu penser que j'étais à l'origine de son isolement et de la dégringolade de sa santé alors que nous n'avions aucun contact et qu'elle n'a jamais versé un centime à mon association ? Comment peut-on dire que je suis une secte parce que des gens écoutent mes vidéos sur Youtube, appelant ces derniers des "adeptes" ?
La diffusion de cette émission a eu des répercussions importantes sur elle, elle témoigne aujourd'hui pour rétablir la vérité mais demande à ce qu'on respecte sa tranquillité et son retour à l'anonymat. Merci de soutenir Constance qui a eu le courage de témoigner malgré la peur réelle des représailles.
 
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10 mars 2021 3 10 /03 /mars /2021 09:57

Les articles et les mises en garde se multiplient concernant les risques, parfois mortels, à propos des nouveaux vaccins.

Ici quelques pistes, à vous de chercher les dizaines d'articles ou vidéos qui confirment et interrogent grandement quant à cette vaccination forcenée qui semble griller toutes les étapes de la sécurité.

 

 

 

 

Une déclaration de responsabilité, à faire signer par le médecin qui vaccine, peut être indispensable, sachant que ni les gouvernements, ni les laboratoires ne seront considérés comme responsables en cas de conséquences graves après vaccination. Le cas de force majeure et d'urgence sera invoqué, et les laboratoires se sont déjà débrouillés pour ne pas être légalement responsables des conséquences de leurs vaccins. Pourtant un vaccin si "efficace" et si "prometteur"... On a du mal à comprendre la déresponsabilisation de leurs créateurs....

 

 

 

Le professeur Dolores Cahill l'a expliqué dans plusieurs interventions. Le Pr Montagnier en a parlé aussi. La tempête de cytokines entrainant une réaction inflammatoire très violente, est le risque majeur de ces vaccinations, et encore plus si les les personnes ont déjà été infectées par le virus.

 

PROFESSEUR DOLERES CAHILL “LES VACCINS TUERONT PAR TEMPETE CYTOKINIQUE” : Après quelques mois les anticorps de notre organisme peuvent s’attaquer à nos organes qui fabriquent des protéines virales grâce à l’ARNm des vaccins. Le Professeur Dolores Cahill est généticienne et immunologue à l’Université de Dublin, elle fait partie du collectif "ACU 2020" Le Pr Cahill explique que les effets des vaccins à ARNm se manifesteront des mois plus tard, et que nous ne voulons pas qu’ils soient étiquetés comme décès Covid, alors qu’en réalité ils meurent des effets des vaccins ARNm. Les anticorps qui réagiront à la présence de nouveaux coronavirus et à ses protéines externes vont s’activer en repérant cette protéine et ils vont en trouver dans vos organes car avec l’ARNm des vaccins, votre corps en synthétise ! Donc les anticorps vont s’attaquer à tous les organes qui ont cette protéine et détruire vos organes vous conduisant à la mort ! Mort qui sera attribuée au Covid alors que c’est une conséquence du vaccin. Seule une autopsie permettra de de connaître la vraie cause du décès comme une inflammation due à une tempête de cytokines provoquée par le vaccin.

 

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/CahillFS:c

 

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7 mars 2021 7 07 /03 /mars /2021 22:46

 

 

Encore une interview qui permet d'aller plus loin, d'ouvrir la pensée, non seulement par des références philosophiques, des concepts qui éclairent le fonctionnement des sociétés, la question du soin, la déshumanisation de la prise en charge par des protocoles basés sur la technologies et le rendement  et qui propose aussi une réflexion et une analyse de toutes les limites qui se sont mises en place ces derniers mois par une "narration", la narration n'étant pas forcément le réel. L'information précède le réel dans ce monde médiatique, donc il s'agit de prendre conscience de qui parle, pour agir sur qui et sur quoi.

D'où cette invitation à revenir au réel, à comprendre comment et dans quel but se met en place cette narration officielle qui est complètement déconnectée de la réalité des citoyens, mais qui finit par envahir le réel et le pervertir.

Deux heures d'interview, ça parait long, mais c'est un régal à écouter... en deux fois ou plus.

Bonne écoute !

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6 mars 2021 6 06 /03 /mars /2021 20:25

Nos médias, nos discussions, les journaux, la société entière semble avoir basculé sous l'emprise des chiffres, des "données", on se bat à coups de statistiques, de courbes, de pourcentages, et cette dérive semble atteindre tout le monde, même ceux qui voudraient s'en prémunir, puisque partout c'est devenu le langage de la vérité, les seuls arguments que l'on peut présenter pour donner son avis sur cette situation qui a envahi tous les aspects de notre vie.


Or, le langage des chiffres, même s'il est nécessaire, est par excellence le langage du cerveau gauche qui analyse, met en morceaux, sectionne, divise, sépare... 

Le sensible a disparu, le mal-être, le deuil, la mort, la maladie, la solitude, la précarité, tout est justifié par les chiffres qui imposent leur "on n'a pas le choix".
Illusion totale d'un cerveau coupé en deux qui ne fonctionne plus que sur une seule polarité.

Remettons du cerveau droit dans cette histoire, remettons de l'affect, du sentiment, du coeur, des émotions, si nous ne voulons pas enterrer notre humanité. 

 

MT

Gustav Klimt - la vie et la mort

Gustav Klimt - la vie et la mort

 
 
 
" Nous n'aurions pas le choix ?  ou  Retrouver le langage de la vie
 
 
Dans ce que nous nous donnons à vivre actuellement, avec cette dite "crise" dont les ressorts ne font que nous mener doucement mais sûrement à tout simplement basculer dans un nouveau paradigme lucratif pour le plus grand bonheur d'une poignée d'être dominateurs qui sont en train de s'acheter la terre, le vivant jusqu'à l'espace, j'ai eu l'occasion, et vous avez certainement eu aussi l'opportunité, de rencontrer un ou des moments, situations, personnes dans votre vie courante, qui, face à votre indignation devant les méfaits désastreux, parfois ignobles, des outils choisis pour "gérer la crise", vous auront répondu : "ON N'A PAS LE CHOIX".
 
 
Cela m'est arrivé par exemple quand j'ai cherché à comprendre en parlant avec eux, des professionnels de la santé chargés de PRENDRE SOIN de mon grand-père, hospitalisé et que, sous couvert de protéger les autres, devait supporter l'ignominie de se voir interdire toute visite, alors qu'il perdait justement ses repères.
A la question, "pensez-vous encore exercer le métier pour lequel vous avez été formé en le privant de contact avec sa famille?", .. ON N'A PAS LE CHOIX. Le directeur, mon supérieur hiérarchique donc, a décidé d'interdire les visites pour cause covid.
 
 
Ce n'est qu'un exemple des nombreux exemples que nous pouvons malheureusement additionner depuis des mois, plutôt que de jongler en permanence avec une "chiffrerie" des plus douteuses qui agite la peur de la fameuse mort, nous empêchant de voir en face combien nous tolérons de plus en plus, jusque dans l'intime de nos liens amicaux, familiaux, la MORT DU LIEN HUMAIN ou de ce qu'il en restait.
 
 
La violence que l'on aimerait étiqueter actuellement sur le dos de celles et ceux qui osent encore revendiquer l'amour, le contact, le prendre soin, le toucher, la rencontre, l'humanisme réel, et pas trans quelque chose, pour nous vendre une technologie comme on veut vendre la peau de l'ours avant qu'il ne soit totalement mort, cette violence que l'on dénonce actuellement toujours trop vite sur le dos de l'autre là-bas qui ne se soumet pas assez vite, comme nous, qui avons appris à accepter d'être dressés les uns contre les autres et contre soi-même, contre nos propres valeurs humaines, cette violence dont on va jusqu'à s'exalter sur des Tweets toujours plus rageurs, pour prouver que son petit soi a bien compris, lui, et doit l'imposer à l'autre qui ne veut pas se soumettre, comment on a soi-même abdiqué en temps et en heure, pour rester dans le rang et continuer de faire partie de cette communauté humaine.. même si elle est devenue inhumaine... et que j'y ai bien contribué sans jamais vouloir le voir parce que je me suis réfugié derrière ce qui se nomme un LANGAGE DE METIER, un langage qui juge, qui dévalorise, nie l'existence de l'autre, de toute émotion.
 
C'est le langage de la violence. Encore faut-il que nous puissions encore le voir, le sentir...
En prison, Eichmann a dit avoir utilisé en son époque ce Fachsprache ou langage de métier, un langage niant la responsabilité, "c'était les ordres des supérieurs, la ligne politique".
 
 
Quelle leçon pouvons-nous encore en tirer, aujourd'hui que tout n'est peut-être pas encore perdu au coeur de l'humain ? "
 
 
Sandra Rabec SA⭐RA
4 mars 2021

 

 

La page facebook de Sandra Rabec :

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5 mars 2021 5 05 /03 /mars /2021 13:04

Si certains continuent à douter que la crise "sanitaire" n'en est pas une, je vous invite à considérer toutes les mesures politiques, sociétales, internationales, qui se mettent en place, sans rapport avec un virus, mais qui prennent prétexte du virus et de la peur des gens pour passer en force.


Aucune amélioration des conditions des hôpitaux (au contraire, suppression de lits), interdiction de médicaments pour n'envisager QUE le vaccin comme moyen thérapeutique ou préventif (comme si la santé, depuis des décennies, voire des siècles, se limitait à la vaccination pour soigner les gens), dépossession des médecins de leur droit de prescrire en leur âme et conscience, bientôt ils ne seront plus en charge des actes de vaccinations, qui passeront par des instances officielles afin que personne ne passe entre les mailles du filet (filet non pas sanitaire donc, mais administratif en vue d'avoir accès à l'identification de tous les citoyens), censure extrême dans tous les domaines, chaines youtube supprimées, stigmatisation de tous les discours opposants ou simplement qui s'interrogent, renforcement des répressions, mise en place de systèmes de surveillance avec des budgets faramineux (qui auraient pourtant été bien utiles à la santé)... comme ici, l'achat de 650 drones pour 4 millions d'euros (probablement pour surveiller les déplacements du virus, ça va de soi.....), la mise en place d'un "passeport vert", notez, "vert" ça fait un peu écolo, ça fait le truc rassurant, pas vraiment dangereux, pas qui viendrait nous prendre nos données personnelles ou votre liberté, puisqu'au contraire, il est censé nous la rendre...


Ce qu'il y a d'étrange, quand même, c'est le côté très planifié de tous ces événements, qui sont parfaitement orchestrés (si tout était aussi efficace pour des problèmes bien plus graves qui attendent d'être réglés depuis des décennies, nous serions dans un monde presque parfait...), et qui suivent un agenda qui semble respecté mois après mois...


L'été dernier, des documents circulaient, taxés de loufoques, complotistes, délirants, bref, sans réalité objective pour beaucoup, et pourtant force est de constater qu'étape après étape, c'est ce qui se met en place. Mais peut-être qu'à ce stade, déjà bien avancé, certains seront encore dans le déni de cette logique qui nous est imposée, et qui avait été programmée bien avant l'arrivée d'un virus.

Exemple avec ce document, très peu lisible, mais les premières cases sont assez explicites.

Pour Philippe Guillemant, il est clair aussi que la mise en place de toutes ces mesures n'a rien de sanitaire, mais a pour objectif de normaliser la société, de contrôler les citoyens et d'ouvrir la voie à l'intelligence artificielle et au marché immense des objets connectés, sur le modèle de la Chine, modèle communiste, répressif et de "récompense" à la soumission. Pour cela revoir le documentaire "7 milliards de suspects, tous surveillés", où le créateur chinois du crédit social revendique cette "paix sociale" à exporter pour les autres pays, suggérant au passage que Mr Macron lui achète son modèle afin de régler son problème avec les gilets jaunes....

Donc nous sommes dans tout, sauf une crise sanitaire, mais le "sanitaire" est le moyen le plus sûr de tétaniser tout le monde et d'avoir un cas de force majeure qui oblige à des mesures, qui dans d'autres circonstances passeraient beaucoup moins bien.

Côté positif de la vision de Philippe Guillemant, c'est qu'il pense que tout ceci ne pourra pas aboutir... Reste à savoir le temps que cela prendra et jusqu'où cette nouvelle tyrannie sera imposée, avant que nous fassions exploser tout ce système anti-vie...

Il dépend aussi beaucoup de nous, de savoir si nous voulons répondre au chant des sirènes d'une technologie sans borne, et cautionner toutes les promesses vantées par ces nouveaux artifices censés nous rendre heureux...

C'est là que nous avons un devoir de conscience.

 

MT

 


 

Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire

 

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.

Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

 

 

 

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

– Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
– Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
– Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
– Identification des personnes avec qui l’on déjeune
– Mémorisation de tous les déplacements
– Calcul de temps de travail ou temps de présence…
– Détection de déplacement inhabituel…
– Etc

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.

Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

– Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
– Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
– Surveillance de l’activité des enfants
– Analyse des interactions familiales
– Analyse de situation (repos, activité, chute…)
– Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
– Détection et mémorisation des habitudes
– Etc

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.

Philippe Guillemant, le 24 novembre 2020

 

https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/

 

 

 

Cet article vient du magazine NEXUS, merci de les soutenir pour leur indépendance

 

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3 mars 2021 3 03 /03 /mars /2021 22:46
Christian Schloe

Christian Schloe

*

 

Je vous ai déjà partagé des articles de Stéphane Pêtre, ici, et ici.

Voici un autre texte explicite à explorer impérativement à l'heure où la crise dite "sanitaire" fige la presque totalité de l'humanité dans une insensibilité à la souffrance qui s'agrandit dans le monde, que ce soit une souffrance sanitaire, économique, sociétale, individuelle. Au nom de la nouvelle religion du Covid, tout le monde doit marcher au pas, tout est justifié par cette seule porte d'entrée cognitive, plus rien d'autre n'existe et toute personne souhaitant sortir de cet enfermement collectif est stigmatisé par tout un jargon issu de la novlangue qui permet de nier tout débat et de diviser le monde en "bons" et en "méchants".

Pour s'en sortir, nous n'aurons pas d'autre issue, avant de réfléchir, que de re-sentir, pour être d'abord branchés sur notre humanité et ce qui nous relie tous au-delà de nos différences.

 

*

 
 
Comment savoir que je détruis si je ne ressens pas ?
Par Stéphane Pêtre
 
Nous allons le savoir par le premier état dissociatif qui soit : la névrose.
La névrose est la manifestation chez un humain du refoulement de ses fixations traumatiques ayant eu lieu durant son enfance. La névrose n'est donc pas le trauma. Elle en est son expression diluée.
 
 
Nous l'avons déjà signifié, cette névrose (hystérique ou obsessionnelle selon les codes classiques en psychologie) est intra-psyhique (donc à l'intérieur du sujet) et a besoin d'être secondée par des défenses de secondes lignes (annulation, isolation, retournement) mais donc surtout par une défense de première ligne : le REFOULEMENT.
 
 
Chez un névrosé standard ce REFOULEMENT suspend le temps, il enfouit et conserve et s’emploie à séparer chez le sujet tout contact avec l'affect traumatique. Avec le REFOULEMENT le sujet baigne dans son jus, il est au sein de son conflit, avec des ratés, des réussites, des ratés...
Nous pouvons donc dire qu’un état névrotique est un état dissociatif standard.
D'un point de vue toujours psychanalytique, la structure névrotique est chez un humain un conflit entre le SURMOI (celui qui pose des limites) et le ÇA (les pulsions vitales) à travers le MOI (celui qui fait comme il peut entres les deux).
 
 
Définition du névrosé type : j'existe, mais je ne sais pas qui je suis pour les autres.
100% des humains ont subi des fixations pathologiques dans leurs enfances.
100% des humains sont donc névrosés et certains ont dépassé ces frontières pour basculer dans de pires conflits qui sont autant de grades dissociatifs (perversions narcissiques, schizophrénie et enfin psychose terminale).
 
 
Le refoulement étant une défense, elle déforme donc la réalité (contraire de la fiction) afin de maintenir la structure interne de chaque sujet en sécurité, ceci afin de ne pas entrer logiquement en contact avec les douleurs internes. 100% des humains déforment donc la réalité à leur guise afin de se protéger de leurs traumatismes. C’est pour cela que l’humanité détruit la planète sans réagir ou si peu, car en réalité profonde, elle ne ressent plus car coupée de ses émotions pour se protéger de ses traumas internes.
 
 
Lancé dans la vie, un humain va ainsi être magnétiquement attiré par les croyances venant se mouler idéalement avec son refoulement. Ces croyances sont bien entendues d'ordre très variées : scientifiques, religieuses, philosophiques, spirituelles etc, etc...
Pourquoi une psychanalytique intégrale ayant pour intention de libérer ces fixations peut-elle échapper à ce piège ? Car, bien que pouvant aussi jouer le rôle d'une croyance protectrice - si et seulement si elle n'a pas encore pour fonction de protéger les parents idéalisés - elle permettra au sujet de ne plus chercher à se protéger et donc à lever le voile sur la réalité. Les faits sont réels : un humain névrosé ayant réussit à force de travail à affiner son refoulement, n'a plus besoin de se réfugier dans aucune croyance protectrice.
 
 
S'ouvre à lui un espace de CONFIANCE où les normes ontologiques prennent systématiquement le relais sur les normes névrosées. Soudain il ressent. Il vit et ne détruit plus le vivant car il sait en faire partie. Mais cela est une autre histoire.
 
Stéphane Pêtre
 
 
 
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3 mars 2021 3 03 /03 /mars /2021 20:18
Faire craquer les cuirasses

 

C'est tellement plus simple d'éteindre nos cerveaux, d'anesthésier le cœur, de se faire croire que ces injonctions sont "normales", "passagères ", "justifiées ", "citoyennes ", "altruistes ", que sais-je encore, puisque notre cerveau est équipé pour tout justifier, même l'intolérable, même l'inacceptable...

 

Seules les connexions entre nos neurones, et entre nos neurones cérébraux et nos neurones cardiaques, pourront nous permettre de remettre de la sensibilité, de la conscience, et désirer mettre fin à cette psychose collective.

 

L'anesthésie est le moyen le plus sûr pour être un terroriste, une machine à répliquer la maltraitance, un abuseur ou un dictateur, un tyran de la Vie.
 

 

Moi je ne veux pas signer pour ce contrat là, qui programme pour des décennies encore la souffrance de notre monde, en la perpétuant sur nos enfants, en les abandonnant à eux-mêmes dans une souffrance à laquelle ils ne peuvent pas faire face à l'heure actuelle et que les adultes ne valident pas, car c'est le seul moyen qu'ils ont de ne pas toucher leur propre impuissance, leur propre souffrance, leurs propres peurs... Pour se protéger eux, ils sacrifient leurs enfants, qui eux, sensibles, voient toute la douleur et l'incohérence du monde qu'on leur propose.


C'est aux adultes de faire craquer leur cuirasse pour arrêter de se réfugier derrière la bienséance, le "pas faire de vague", le "c'est pour notre bien", " c'est pour ton bien", ...
 

 

Toutes les horreurs sur cette terre ont été commises pour "de bonnes raisons ", un idéal politique, économique ou religieux.... Il manquait l'idéal sanitaire... on vient de nous le créer...
 

Et la peur d'entrer dans nos propres peurs a fait que nous laissons en héritages les mêmes valises nauséabondes depuis des siècles, remplies de vieux trucs jamais triés...

 


Ouvrons les volets, les rideaux, les fenêtres, les cœurs, levons les voiles, faisons craquer les cuirasses, respirons...!!!

 

 

 

 

 

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Je vous ai déjà partagé des articles de Stéphane Pêtre, ici, et ici.

Voici un autre texte explicite à explorer impérativement à l'heure où la crise dite "sanitaire" fige la presque totalité de l'humanité dans une insensibilité à la souffrance qui s'agrandit dans le monde, que ce soit une souffrance sanitaire, économique, sociétale, individuelle. Au nom de la nouvelle religion du Covid, tout le monde doit marcher au pas, tout est justifié par cette seule porte d'entrée cognitive, plus rien d'autre n'existe et toute personne souhaitant sortir de cet enfermement collectif est stigmatisé par tout un jargon issu de la novlangue qui permet de nier tout débat et de diviser le monde en "bons" et en "méchants".

Pour s'en sortir, nous n'aurons pas d'autre issue, avant de réfléchir, que de re-sentir, pour être d'abord branchés sur notre humanité et ce qui nous relie tous au-delà de nos différences.

 

*

 

 
Comment savoir que je détruis si je ne ressens pas ?
Par Stéphane Pêtre
 
Nous allons le savoir par le premier état dissociatif qui soit : la névrose.
La névrose est la manifestation chez un humain du refoulement de ses fixations traumatiques ayant eu lieu durant son enfance. La névrose n'est donc pas le trauma. Elle en est son expression diluée.
 
 
Nous l'avons déjà signifié, cette névrose (hystérique ou obsessionnelle selon les codes classiques en psychologie) est intra-psyhique (donc à l'intérieur du sujet) et a besoin d'être secondée par des défenses de secondes lignes (annulation, isolation, retournement) mais donc surtout par une défense de première ligne : le REFOULEMENT.
 
 
Chez un névrosé standard ce REFOULEMENT suspend le temps, il enfouit et conserve et s’emploie à séparer chez le sujet tout contact avec l'affect traumatique. Avec le REFOULEMENT le sujet baigne dans son jus, il est au sein de son conflit, avec des ratés, des réussites, des ratés...
Nous pouvons donc dire qu’un état névrotique est un état dissociatif standard.
D'un point de vue toujours psychanalytique, la structure névrotique est chez un humain un conflit entre le SURMOI (celui qui pose des limites) et le ÇA (les pulsions vitales) à travers le MOI (celui qui fait comme il peut entres les deux).
 
 
Définition du névrosé type : j'existe, mais je ne sais pas qui je suis pour les autres.
100% des humains ont subi des fixations pathologiques dans leurs enfances.
100% des humains sont donc névrosés et certains ont dépassé ces frontières pour basculer dans de pires conflits qui sont autant de grades dissociatifs (perversions narcissiques, schizophrénie et enfin psychose terminale).
 
 
Le refoulement étant une défense, elle déforme donc la réalité (contraire de la fiction) afin de maintenir la structure interne de chaque sujet en sécurité, ceci afin de ne pas entrer logiquement en contact avec les douleurs internes. 100% des humains déforment donc la réalité à leur guise afin de se protéger de leurs traumatismes. C’est pour cela que l’humanité détruit la planète sans réagir ou si peu, car en réalité profonde, elle ne ressent plus car coupée de ses émotions pour se protéger de ses traumas internes.
 
 
Lancé dans la vie, un humain va ainsi être magnétiquement attiré par les croyances venant se mouler idéalement avec son refoulement. Ces croyances sont bien entendues d'ordre très variées : scientifiques, religieuses, philosophiques, spirituelles etc, etc...
Pourquoi une psychanalytique intégrale ayant pour intention de libérer ces fixations peut-elle échapper à ce piège ? Car, bien que pouvant aussi jouer le rôle d'une croyance protectrice - si et seulement si elle n'a pas encore pour fonction de protéger les parents idéalisés - elle permettra au sujet de ne plus chercher à se protéger et donc à lever le voile sur la réalité. Les faits sont réels : un humain névrosé ayant réussit à force de travail à affiner son refoulement, n'a plus besoin de se réfugier dans aucune croyance protectrice.
 
 
S'ouvre à lui un espace de CONFIANCE où les normes ontologiques prennent systématiquement le relais sur les normes névrosées. Soudain il ressent. Il vit et ne détruit plus le vivant car il sait en faire partie. Mais cela est une autre histoire.
 
Stéphane Pêtre
 
 
 
 

*

L'impact sur la jeunesse ne cesse de s'aggraver.

Yann Moix "appelle tous les étudiants à se révolter contre un nouveau confinement, à une désobéissance civique puissante", et ose parler du désastre des mesures sur la jeunesse ...

 

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De plus en plus de médecins osent dire que ces mesures appliquées à une population entière, quand 99,5 % n'est pas en danger, sont une aberration...

 

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18 février 2021 4 18 /02 /février /2021 22:31
Retourne t'abreuver au bon, au beau, au vrai - Aédàn

 

Encore et encore, retourne t'abreuver au bon, au beau, au vrai.
Ne confonds pas ces trois diamants avec leurs échos éventés qu'on anone dans les classes qui enseignent surtout le gris…


Par bon, je veux dire ce qui se reconnaît dans la lumière qui éclaire ton cœur.
 

Par beau, je veux dire ce qui évoque en toi le souvenir de cet émerveillement qui a toujours été.
 

Par vrai, je veux dire la parole sincère, elle dont les mots ne veulent rien, elle qui s'est dénudée jusqu'à l'humilité du miroir.
 

Et quand viendront le laid, le faux et le mauvais – ton œil, ton oreille et ton cœur entraînés ne seront pas trompés : ils y verront dissimulée la perle incandescente qui réside au cœur du cœur de toute chose, y compris la plus disgracieuse.
 

Alors, tu seras vraiment de ceux qui sauvent les mondes.
 

Alors, ton regard même : une rédemption.

 

 


Aédàn - Célébrations et crépuscules

 

 

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18 février 2021 4 18 /02 /février /2021 22:10

 

Je crois avoir déjà mis cette citation... Quoi qu'il en soit, elle me semble appropriée en ce moment, car le découragement peut nous traverser plus d'une fois....

Ne perdons pas courage, soutenons-nous mutuellement, écoutons des personnes qui peuvent nous présenter une vue d'ensemble de la situation avec une analyse constructive, même en dénonçant toutes ces ombres qui remontent à la surface en ce moment.

Soyons tendres - essayons- avec nos propres ombres, lenteurs, peurs, lourdeurs, découragements, impuissances, qui apparaissent en pleine lumière pour nous-mêmes au fil des jours et au fil des prises de conscience.

Et restons focalisés sur la beauté et l'amour.

 

 

 

 

Comment le diable vint au monde - Henri Gougaud

Comment le diable vint au monde

 

On raconte chez les Tziganes que Dieu vécut longtemps tout seul dans on ne sait quel fond de ciel, et que s’il lui vint à l’idée de créer un monde vivant, ce fut pour tromper sa tristesse de n’avoir pas de compagnie.

 

Un matin d’avant les matins, il s’attela donc à l’ouvrage. Il s’y prit mal, évidemment. Fabriquer un ciel, des étoiles, une terre et ses habitants exige un art, un savoir-faire hors de portée d’un débutant. En toute chose il faut apprendre, tâtonner, cent fois se tromper, tirer les leçons des échecs, remettre la main à la pâte. Dieu le fit quelques millénaires, puis comme il ne parvenait pas à bâtir l’œuvre sans défaut qui aurait fait briller son œil il perdit, un jour, tout courage. «A quoi bon ? se dit-il. Je m’obstine pour rien». De dépit, il jeta sa canne. Elle tomba, elle heurta le sol de son atelier infini, et du bruit qu’elle fit sur les dalles naquit, fringant, monsieur Satan.

 

Ce que dit l’histoire ? Voici. Nos creux de vague, nos fatigues, sont des accoucheurs de démons. Ne te décourage jamais.

 

 

Henri Gougaud

 

 

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15 février 2021 1 15 /02 /février /2021 21:21

 

Nos vies sont comme des fils
Parfois emmêlées
Parfois tressées ensemble,
Toujours porteuses de lumière 🌠

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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 16:37

 

Si seulement nous avions le courage des oiseaux

Qui chantent dans le vent glacé....

Invitation à déployer notre lumière, peu importe les circonstances...

 

 

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10 février 2021 3 10 /02 /février /2021 20:18
Tu as un royaume lunaire
 
 
Tu as un royaume lunaire
Dont tu es la reine
Chaque fois que tu fais silence
Chaque fois que tu laisses briller l'Invisible
La beauté luit
Comme l'eau sous la lune.
 
 
 
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9 février 2021 2 09 /02 /février /2021 11:33
Etre ce que l'on est - Alexandro Jodorovsky

 

 

Sous chaque “maladie” se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons ou l’ordre de faire quelque chose que nous ne désirons pas.
Toute guérison exige la désobéissance à cet interdit ou à cet ordre.
Et pour désobéir, il faut se débarrasser de la peur enfantine de ne plus être aimé, c’est à dire abandonné.
Cette peur entraîne un manque de conscience :
Celui qui en est affecté n’a pas conscience de ce qu’il est vraiment, car il essaye d’être ce que les autres attendent qu’il soit.
S’il persiste dans cette attitude, il transforme sa beauté intime en maladie.
La santé ne se trouve que dans l’authenticité.
Pour parvenir à ce que nous sommes, il faut éliminer ce que nous ne sommes pas.
Le plus grand bonheur, c’est d’être ce que l’on est.

 

 

Alexandro JODOROWSKY

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8 février 2021 1 08 /02 /février /2021 18:44
Illustration Daria Hlazatova

Illustration Daria Hlazatova

 

Mon Dieu, cette époque est trop rude pour des êtres fragiles comme moi.

 

Après elle, je le sais, viendra une autre époque beaucoup plus humaine.

 

J’aimerais tant survivre pour transmettre à cette nouvelle époque toute l’humanité que j’ai préservée en moi malgré les faits dont je suis témoin chaque jour. C’est aussi notre seul moyen de préparer les temps nouveaux : les préparer déjà en nous. Je suis intérieurement si légère, si parfaitement exempte de rancœur, j’ai tant de force et d’amour en moi.

 

J’aimerais tant vivre, contribuer à préparer les temps nouveaux, leur transmettre cette part indestructible de moi-même ; car ils viendront, certainement.

 

Ne se lèvent-ils pas déjà en moi jour après jour ?

 

 

 

Etty Hillesum, Une vie bouleversée

 

 

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 16:39
D'or et d'argent
 
 
D'or et d'argent
La lumière se divise
Elle cherche en toi l'unité
Dans la nudité de qui tu es.
 
 
 
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  • : Un lieu où pourraient se cotoyer le jour et la nuit, les univers différents de la pensée logique, rationnelle, structurée à partir des informations émanant de toute part, et de la pensée vagabonde, celle qui erre la nuit, mais aussi le jour, dans l'envers des choses, à la recherche de l'impalpable, de la beauté et de la magie. Michèle Théron
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  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. 
Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...
  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...

Auteur - Photographe

Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

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