Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 22:23

 

 

Voici une vidéo qui complète bien la vidéo "qu'elle est la limite à dire oui à ce qui est" (http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/article-quelle-est-la-limite-a-dire-oui-a-ce-qui-est-isabelle-padovani-124944274.html ).

Ecouter ses besoins, c'est pouvoir écouter les différentes parts qui parlent en nous, c'est pouvoir être à l'écoute d'une référence interne.

 

Et lorsque deux êtres humains en relation "sont connectés  dans la profondeur de cette nappe phréatique de leurs besoins, ils ont naturellement, spontanément envie de contribuer à prendre soin l'un de l'autre." 

Nous savons intimement que nous sommes "un".

C'est pourquoi "quand on ne peut pas communier avec un être, ça nous fait mal".

 

MT


 

 

 

 

 

 

Repost0
5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 21:52

 

Une petite mise au point, toujours éclairante et plein d'humour, pour tous ceux et celles qui n'arrivent pas à dire "non" dans la vie...

Apprendre à faire la différence entre les aspirations de notre être et la stratégie mise en place pour ces aspirations.

Apprendre, surtout, à dire oui, aux parties en nous qui ont besoin d'empathie, de soutien, afin de ne pas négliger nos besoins personnels.

Une façon d'accueillir que nous sommes des êtres limités... avec des aspirations illimitées.

MT

 

 

 

 

 


 


Repost0
4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 19:12

 

 

J'aime beaucoup ce début de poème qui fait écho au texte de bienvenue de ce blog et à son titre "le jour et la nuit", la nuit étant ce matériau inconscient que nous tentons de ramener dans le présent du jour.

MT

 


 

1463679_549238115154094_1154967338_n.jpg

 

 

 

 

Le poète est celui qui met sa nuit sur la table

Disait-il : des fragments, des ruines

Des efforts, des présences

Des trous noirs où neigent parfois

Des rémissions ou des absences (…)

 

 

Éric Brogniet

 

 

http://schabrieres.wordpress.com/2014/11/01/eric-brogniet-poeme-2007/

 

 

 

Repost0
2 novembre 2014 7 02 /11 /novembre /2014 23:42

 

 

 

imagine.jpg

 

 

 

 

 

 

Le secret du changement consiste à concentrer son énergie pour créer du nouveau, et non pas pour se battre contre l'ancien.

 

Dan Millman

 

 


 

 

 


Repost0
31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 23:38

 

 

396666_258777280861594_1353972427_n.jpg

 

 

 

 

Certains disent : « Je n'ai aucun talent, et donc je suis incapable de créer ».

Le talent n'est pas une faculté créatrice. Vous pouvez être créateur sans avoir de talent. Être créateur, c'est être dans un état où la vérité peut entrer en existence; et la vérité ne peut entrer en existence que lorsqu'il y a complète cessation du processus de pensée.

 

 

Krishnamurti

 

 

 


Repost0
31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 10:13

 

la-sylphide_anna-de-vries.jpg

Illustration Anna de Vries : La Sylphide

 

 

 

 

 

 

Samaïn est une fête de fermeture de l'année écoulée, et d'ouverture de l'année à venir, c'est une charnière en dehors du temps. Comme toutes les sociétés archaïques, la société celtique était une structure très organisée où chacun connaissait sa place. Mais les Celtes savaient que seule une rupture abolissant ordre et structure et permettant au chaos de régner pouvait rendre cet ordre psychologiquement confortable.

 

 

C'était le rôle de Samaïn. Les trois jours de ce festival échappaient au temps et chacun y faisait ce qui lui plaisait : les hommes s'habillaient en femme et vice versa, les barrières des fermiers étaient démontées et jetées dans les fossés, les chevaux changés de prés, et les enfants visitaient les voisins en exigeant des cadeaux et des gâteries, une tradition qui survit de façon atténuée dans la fête de Halloween (contraction de "All hallows eve" : la veille de la Toussaint, le 31/10).

 

 

Les Celtes comptaient le temps en partant de la nuit et en allant vers le jour, exprimant ainsi leur espoir dans l’évolution d’une conscience endormie vers une conscience éveillée. C’est pourquoi l’année celte commence avec une fête lunaire, au cœur de l’obscurité : c’est la fête de Samaïn, dont le nom signifie littéralement « la chute du soleil ».

 

 

Samaïn ouvre donc le premier quartier, avec une fête qui dure trois jours : les 31 octobre, 1er et 2 novembre. Samaïn est le « nouvel an » celte.

 

Au cours de ces trois jours, le 31 octobre est consacré à la célébration du "petit Peuple" (les fées, les lutins, les gnômes, etc.) : c'est le jour du renouvellement de l'alliance avec la Terre-Mère, à travers leurs énergies.

 

Le 1er novembre est le temps de la célébration des "Atrawon", les sages, les éveillés qui sont passés dans le Gwenved ("le Monde Blanc"), l'autre monde de la tradition Celte : c'est le temps de l'alliance avec le plan de la conscience éveillée, le "ciel".

 

Enfin le 2 novembre célèbre les "morts", ce terme ne désignant pas les défunts, mais les humains incarnés qui ne sont pas encore nés à la conscience de leur nature originelle, qui ne sont pas encore "éveillés" : c'est le temps de l'alliance avec soi-même, et de la reliance avec l'humanité.

 

 

Le mot-clef du quartier commençant avec la fête de Samaïn (qui va jusqu’à l’Alban Arthuan, le Solstice d’Hiver) est : "Transmutation"

 

 

Une phrase-clef pouvant nous synchroniser à l'énergie du temps de Samaïn est : « En ce jour, je m’ouvre au renouveau en laissant partir l’ancien et en accueillant les changements inattendus qui me sont proposés par la Vie »

 

 

Isabelle Padovani

 

 

 

Repost0
30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 23:15

 

 

DSC05820sign.jpg

 

 

 

 

Nous n'habitons pas des régions.

Nous n'habitons même pas la terre.

Le cœur de ceux que nous aimons est notre vraie demeure.

 

Christian Bobin

 

 

 


Repost0
29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 23:50

 

 

 

1.jpg

 

 

 

Le sublime est un départ.

Quelque chose de nous qui

Au lieu de nous suivre,

Prend son écart et s'habitue aux cieux.

 

La rencontre extrême de l'art

N'est-ce point l'adieu le plus doux ?

Et la musique : ce dernier regard

Que nous jetons nous-mêmes vers nous !

 

 

Rainer Maria Rilke

 

 

 


Repost0
29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 23:03

 

 

 

 

Danseur de sable…

Puissions-nous être des danseurs aussi créatifs, aussi légers, aussi détachés, capables d’accepter que chaque instant créé se décrée le moment d’après, que toute beauté est impermanente même si éternelle, puisque née du cœur.

 

MT

 


 

 

 

 

 

Repost0
28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 16:16

 

Toute naissance est un passage important.

 

 

Aujourd'hui c'est la naissance de mon site Divine Nature pour y loger mes photos, des photos essentiellement de fleurs, dans une approche intimiste, au plus près de ce qu'elles donnent à voir.

 

 

C'est l'aboutissement de tout un cheminement de découverte, d'approche, de rencontre avec soi, de reconnaissance, d'amour, de mise en lumière, dans une création qui est le fruit d'une co-création avec la vie.

 

 

C'est à dire que chaque instant, chaque regard, chaque énergie nouvelle qui vient me traverser, peut m'emmener vers le meilleur de la création, alors même que chaque instant, chaque regard, chaque énergie nouvelle peut aussi venir me toucher dans des zones sensibles et vulnérables, m’entraîner dans des méandres où j’ai peu de contrôle sur les remontées douloureuses que la vie peut faire tourbillonner.

 

 

Chaque mouvement peut être une mini-tempête où l'être n'est qu'une barque fragile.

 

 

Au centre de la barque, une présence, un regard, suffisent à faire éclore la lumière et la beauté.

 

 

Devant l'enfant, le fruit, la fleur, comment ne pas être pris de tendresse, si l'on comprend qu'ils viennent d'un long chemin d'amour?

 

 

Un départ est comme un bouton prêt à éclore. Rien n'est jamais fini, de la naissance à la mort, et toute manifestation reste sous l'emprise du mystère.

 

 

Je vous souhaite une belle visite si le chemin des fleurs attire vos pas et je vous souhaite de toujours voyager au cœur de la création.

 

 

MT

 

 

cbe01c 3b6d63e59bc040b6acd1a202cc9089f5 jpg srb 700 2000 75

 

 

http://micheletheron.wix.com/divinenature

 

http://shoutout.wix.com/lp/b04734e3-07da-4e08-8e23-7c65828faa52

 

 

 

 

 

Repost0
28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 12:03

 

 

Bon, pour commencer, soyons clairs : elle n’est invisible cette épidémie que pour ceux qui ne veulent pas la voir ou s’en soucier…

Les malades eux, la perçoivent très bien, et les réseaux d’entre-aide, les forums sont suffisamment remplis de témoignages, de paroles de détresse et de vécus dramatiques pour se rendre compte qu’il y a un sérieux problème.

 

 

D’ailleurs toutes les personnes, médecins y compris, qui sont sceptiques sur la maladie de lyme devraient s’inscrire sur un forum, cela ouvrirait, peut-être, leur vision et changerait leur représentation sur la maladie et les malades.

 

 

Voici donc un nouveau documentaire sur la maladie de lyme, qui va sans conteste dans le sens des malades, et où ne rodent pas tous ces petits sous-entendus qui suggéraient que les malades somatisaient, étaient hypocondriaques ou avec des problèmes psychiatriques…

 

 

 

Alors pour résumer, je vous facilite la mémorisation de quelques points clé :

 

 

- les médecins sont sous informés

 

- il existe une obligation de suivre un guide de bonne conduite des pratiques... mais qui date d'il y a 30 ans

 

- les règles strictes ne tiennent pas compte de l'évolution et de la complexité de la maladie de lyme

 

- la fiabilité des tests sérologiques est contestée (les résultats changent d'un labo à l'autre, d'une région à l'autre, d'un pays à l'autre; le test Elisa est échelonné sur des statistiques de "maladie rare"; mais avec 1 million en Allemagne, 300 000 ts les ans aux Etats Unis et "seulement" 30 000 en France, on a du mal à considérer ça comme une maladie "rare").Un membre du congrès américain s'étonne que dans son pays si évolué, "on ait un test qui diagnostique que la moitié des cas de lyme".

 

- il existe des conflits d'intérêts (le "grand" défenseur du test Elisa -produit par Mérieux- qui affirme sa fiabilité à 100 % alors qu'il est contesté à des niveaux internationaux, a des liens avec Mérieux)

 

- les traitements sont contestés (la plupart du temps il est affirmé que les antibio règlent le problème, or : les borrelie changent leurs anti-gènes en permanence donc ne sont plus repérées par le système immunitaire et elles échappent à l'action des antibio quand elles se mettent en forme "dormante", c'est à dire kystique; les anti-bio ne tuent que des bactéries qui se multiplient; et les bactéries se réveillent par cycles.

 

- les traitements antibio recommandés dans le consensus de 2006 la plupart du temps sont totalement insuffisants pour guérir les malades; donc les médecins (certains) qui soignent sont obligés de sortir des clous de la recommandation

 

- pas de financement de la recherche : dès qu'un projet de recherche sur lyme est présenté, il est systématiquement refusé, avec comme motifs : c'est n'importe quoi, c'est une maladie rare, ça n'existe pas....

 

- comme on ne sait pas traiter la maladie, on envoie les malades en psychiatrie

 

- l'ordre des médecins chasse tous les médecins qui ne suivent pas les directives de la conférence de 2006; sur le terrain tout est fait pour empêcher de soigner lyme, car les pratiques novatrices démontrent que le consensus de 2006 est obsolète; cela va jusqu'à risquer d'être accusé de "charlatanisme" (en toutes lettres dans un courrier du conseil de l’ordre)

 

- les petites phrases qui font monter l'adrénaline : (on pourrait presque concevoir que ce n'est pas un mal... les malades en manquent, à force d'être raplapla...) ;-)

 

    - Pr Pierre Kieffer : si après le traitement antiobio les malades souffrent encore c'est qu'ils somatisent; 1/3 de ses patientes fibromyalgiques ont été violées... CQFD

 

    - Pr jaulhac : si les patients ne guérissent pas, c'est qu'ils prennent mal leur traitement, qu'ils oublient leur cachet le midi.... (bin voyons...) ; un traitement court est largement suffisant et efficace (allons bon... mais à quoi jouent donc les milliers de malades qui ne guérissent pas ??? ! )

 

- rattrapage par le Pr Perronne : "avec ce type de contre-vérités scientifiques on laisse crever les malades à petit feu"... c'est la conséquence hélas concrète, sur le terrain, de tous les points évoqués plus haut.

 

- Et la question du Dr Horowitz : on a un sérieux problème, là, qu'est-ce qu'on fait?  

 

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Repost0
16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 18:33

 

 

Voici un homme, Boris Cyrulnik, dont j'admire infiniment le parcours.

 

 

Enfant au passé tragique, il a su traverser l'épreuve en mettant ses forces vives au service de la compréhension des animaux et des humains pour connaître le vivant, en étudiant sur le terrain pour être au cœur de l'expérience, en écrivant pour transmettre et aussi parce que "si j'écris, je redeviens maître de mon monde", et pour faire connaître cette idée de "résilience", c'est à dire cette capacité à rebondir et à continuer après les traumatismes et les fracas de la vie.

 

 

"Après un malheur on est contraint à la poésie, on est contraint à la métamorphose, c'est à dire qu'on ne peut plus jamais être comme avant".

 

 

Cette force de résilience l'a amené là où il en est aujourd'hui, et par son propre destin, il a été au-devant des plus démunis, dépassant les croyances d'enfermement et de limites pour proposer cet espoir lumineux que rien n'est jamais définitif, et qu'avec de l'amour, un environnement sécurisant et des adultes qui auront cette fonction de "tuteur de résilience", un nouveau départ est possible, la vie peut se remettre en mouvement.

 

 

Pour preuve cette étude auprès des enfants roumains abandonnés et laissés en isolement sensoriel et dont le comportement ressemblaient aux autistes. Les scanners du cerveau montraient une atrophie cérébrale au niveau fronto-limbique. Quand certains de ces enfants ont été adoptés, et ont donc retrouvé du lien et de l'affection, les scanners ont montré qu'il y avait à nouveau du cerveau partout, que les parties atrophiées étaient à nouveau remplies. 

 

 

Je suis admirative de la somme de connaissance qu'il a obtenue, connaissance qu'il a offert au plus grand nombre grâce à ses interventions publiques et ses livres, tous d'une grande richesse et traduits de par le monde.

 

 

Je suis admirative et touchée, par ce parcours d'homme à qui il a fallu plus de 50 ans avant de pouvoir parler de son enfance à la première personne, et qui aujourd'hui nous partage tout ce chemin parcouru entre le "taire" et le "dire".

 

 

Son livre "Sauve-toi la vie t'appelle"  est ce fabuleux et dramatique voyage au cœur de son enfance, pour tenter de nommer et d'expliquer l'intolérable vérité : avoir été condamné à mort à l'âge de 6 ans et avoir perdu ses parents dans les camps de la mort.

 

 

Le chemin de Boris Cyrulnik est un chemin d'exemple et d'espoir, qui montre qu'au-delà de la souffrance un chemin peut se reconstruire, même s'il existe des facteurs qui empêchent la résilience.

 

 

Et comment ne pas être touchée par la grande humanité qui se dégage de Boris Cyrulnik, alors même qu'il est né au cœur d'une époque traversée par une des plus grandes inhumanités qui soient ?

 

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Repost0
15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 12:16

 

Voici un thème important, un de ces "poisons de l'âme", dont Boris Cyrulnik parle très bien car la honte est en lien direct avec la résilience, ou plutôt ici, la non-résilience.

 

C'est "le facteur d'anti-résilience qui empêche la réprise d'un processus de développement après un traumatisme".

 

Parmi les trois facteurs qui empêchent cette résilience :

- l'isolement

- le non-sens avec incapacité à faire un récit de ce qui est arrivé

- la honte, où le sujet se met en situation de désocialisation

 

 

Ce sentiment est rarement abordé dans les processus de guérison. On parle plus facilement de la tristesse, de la colère, de l'abandon, de l'injustice, mais rarement de la honte, qui en effet renvoit non seulement à une incapacité à se dire, se raconter, se montrer, mais aussi à une incapacité à rebondir après des événements traumatisants.

 

 

Un moment d'écoute et de réflexion qui permettra à certains de comprendre pourquoi "quelque chose" s'est arrêté dans leur vie.

 

Mais, bonne nouvelle nous dit Cyrulnik, nous pouvons sortir de la honte....

 

 

MT

 

 

 

 

 

 

 

 

Repost0
10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 09:28

 

mendiant.jpg

 

 

 

 

 

 

Quand un mendiant te tend la main, ce n'est pas pour te demander un sou, c'est pour t'aider à sortir de ton trou d'indifférence, de ton sommeil, de ta misère intime.

 

Les mendiants sont des donateurs invisibles, souviens-toi de cela.

 

 

 

Henri Gougaud

 

 

 

 

 

 

Repost0
8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 07:10

 

 

 

 

598727_509359222408715_1790368800_n.jpg

 

 

 

 

 

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …

Que « Pourquoi ? » est la plus inutile des questions dans l’univers.

La seule question qui a du sens c’est « Que faire de cela ? »

 

Poser la question « Pourquoi cela arrive-t-il ? » peut seulement vous enlever votre pouvoir. Poser la question « Que souhaiterai-je faire de cela ? » crée exactement l’effet inverse.

 

Voici un grand secret : la raison de n’importe quelle chose est de produire chez vous un choix par rapport à cette chose.

 

Pensez à cela pendant un moment. En fait, pensez-y pour le reste de la journée.

 

Avec tout mon amour, votre ami

 

 

Neale

 

 


Repost0

Présentation

  • : Le blog de lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • Le blog de lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • : Un lieu où pourraient se cotoyer le jour et la nuit, les univers différents de la pensée logique, rationnelle, structurée à partir des informations émanant de toute part, et de la pensée vagabonde, celle qui erre la nuit, mais aussi le jour, dans l'envers des choses, à la recherche de l'impalpable, de la beauté et de la magie. Michèle Théron
  • Contact

  • lejour-et-lanuit.over-blog.com
  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. 
Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...
  • Passionnée par l'âme humaine, je cherche sans cesse du sens et le sens de notre chemin d'humain. Mon propre chemin n'est qu'un zig-zag en dehors des autoroutes et je n'ai pas encore épuisé tous les chemins de traverse...

Auteur - Photographe

Michèle Théron, praticienne de santé naturopathe, femme en chemin, je vous partage sur ce blog des articles, de la poésie, des photos créés par moi, et les citations, articles, vidéos qui nourrissent mon chemin et m'inspirent.

Recherche